samedi 23 février 2013


les billets sont en vente tous le jeudis soir de 18 à 20h au restaurent SIZIN 45, rue du Fbg Montmartre dans le 9eme M° Le Pelletier (paiement possible en 2 ou 3 fois)

vente en ligne sur http://www.aiousinan.net

La grande soirée gastronomique et musicale entre Turcs et Français aura lieu le samedi 8 juin 2013 au Carré Rouge, espace PARIS EST MONTREUIL:

Le but ? se découvrir, s'apprécier autour de la gastronomie des deux pays et de leurs musiques traditionnelles, modernes ou jazz manouche, rire, chanter et danser ..... plusieurs invités surprise (écrivains, artistes) 

Adresse: CARRE ROUGE, espace PARIS EST MONTREUIL 128, rue de Paris 93100 MONTREUIL

tarif 62 €, 
nombre de places limité à 220 personnes. 

Organisateur "SINAN

Réservations: 06.21.58.00.02   chantal.aiou@neuf.fr

photo: Aznavour traiteur

vendredi 22 février 2013

Nevşehir Tuzköy'de Türkiye'ye 1000 yıl yetecek kaya tuzu rezervi var


Bu rezerv Türkiye'ye 1000 yıl yeter
22 Şubat 2013 Cuma 10:10
.
Bu rezerv Türkiyeye 1000 yıl yeter
Nevşehir'in Gülşehir ilçesine bağlı Hacıbektaş Tuzlası Selçuklular döneminden beri işletilen en eski ve en önemli kaya tuzu işletmelerinden.
Tuzköy diye bilinen alandaki kaya tuzu mineral yönünden çok zengin.
Tuz Madeni İşletmesi Yöneticisi Suat Bilgin:
"Kaya tuzunda Türkiye’nin en kaliteli kaya tuzu. Kaya tuzunun özelliklerine gelince, tamamen doğal, içinde hiçbir tane kimyasal madde yok. Atık madde olsun, kimyasal madde olsun, göl tuzuna deniz tuzuna nazaran tamamen doğal içinde 84 tane mineral var" dedi.
Yapılan çalışmalar tuzlanın Türkiye'ye uzun yıllar yetecek rezerve sahip olduğunu ortaya çıkardı.
Suat Bilgin:
"Kendi sahamızda 10 asır Türkiye´nin ihtiyacını karşılayacak şekilde rezerv var. MTA’nın yapmış olduğu 1979-80 yıllarında tam 2 yıl çalıştı bu sahada. 950 milyon ton tuz rezerv tespit etmiş."
Avrupa'dan da kaya tuzu siparişinde bulunanlar da var.
"Avrupa ülkelerinden çok talep var. Almanya’dan karla buzla mücadele için geçen yıl 60 bin ton, bir tane firma istedi, 100 bin ton da değişik bir firma istedi."
Nevşehir'i kaya tuzu alanında dünya çapında tanıtacak Tuzköy tam kapasiteli işlenmeyi bekliyor.

Istanbul le 23 février: concert de bienfaisance à Notre-dame de Sion

WBFN - Concert de bienfaisance -

Thématique Concerts
Date de debut 2013.02.23 19:00
Date de fin 2013.02.23
Intro Programme :

* Chants d’ouverture avec la soprano d’origine allemande Christa Füelster,

* Récital de piano avec les frère et soeur azeris, Abuzer Manafzade et Turan Manafzade, d' Azerbaijan
Description Les billets (adultes : 20TL / étudiants : 10 TL) ) seront en vente 1h avant le concert au Lycée Notre Dame de Sion.

Tous les bénéfices du concert seront reversés à Don Bosco pour l’école des enfants iraquiens et pour les réfugiés syriens.
Contact Fabienne Altinok
Adresse Notre Dame de Sion Fransiz Lisesi
Salle de Spectacle
Cumhuriyet cad no 127
Harbiye -
tel: (0212) 219 16 97 Istanbul Turquie
Lien http://www.nds.k12.tr/-Agenda-culturel-
Posté par theatre

rencontres annoncées un peu tard

Rencontres européennes

Thématique Conférences
Date de debut 2013.02.22 10h
Date de fin 2013.02.22 17h30
Intro Les universités Bogaziçi et Galatasaray organisent les "Rencontres européennes" : deux conférences sur les évolutions du paysage politique en Turquie.
Description 10h-12h : Université Bogaziçi
"L'évolution de la gauche turque" (en anglais)

15h30-17h30 : Université Galatasaray
"La constitution à venir et le futur des droits et des libertés en Turquie" (en français)
Contact
Adresse Université Bogaziçi et Galatasaray
Lien

TURQUIE:Les conseils du gouvernement pour une vie de couple épanouie


Selon une brochure publiée par le ministère de la Famille et des Politiques sociales, les secrets d'un mariage réussi résideraient dans un amour réciproque, le respect et l'écoute de l'autre, et une vie sexuelle épanouie, rapporte le quotidien Hürriyet. La publication vise à répondre à une progression jugée inquiétante du nombre de divorces en Turquie.
Le fascicule intitulé "La communication dans le mariage et dans la vie quotidienne" a pour but de guider les couples dans les différentes étapes de la vie conjugale, de la lune de miel aux scènes de ménages, en passant par les secrets d'une vie sexuelle saine.
Le ministère met aussi en garde les époux contre les décisions trop hâtives en matière de divorce et rappelle qu'une bonne communication, que ce soit dans la vie de tous les jours ou au sein de la vie sexuelle des mariés, est la clé pour surmonter les difficultés du couple.
La plupart des divorces ne seraient pas dus à un manque d'amour au sein du couple mais à une mauvaise résolution des problèmes, selon le livret. Il invite les couples – qui, "de nos jours, font trop facilement et trop rapidement appel au divorce" – à préserver leur mariage en entretenant la passion et l'engagement qu'ils ont pris l'un envers l'autre.
Manon Gay (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) lundi 22 février 2013

jeudi 21 février 2013

18 MARS au KIBELE: soirée ALTAY !!


  • lundi 18 mars 2013 20:0023:00

  • Le Kibele (restaurant-bar culturel), 12 rue de l'Echiquier 75011 PARIS
  • Avec Altay Manço, écrivain et psychologue
    Cyprien Bole, musicien (chants diphoniques, guimbardes, flûtes)
    Emilie Maj, ethnologue, spécialiste de la Iakoutie

    ***
    ... SOIREE ALTAY !
    De la Turquie à la Mongolie

    Au restaurant Kibele
    12 rue de l’Echiquier, Paris 12e
    Métro Bonne Nouvelle
    Lundi 18 mars 2013
    20 h 00 Repas
    21 h 30 Conférence musicale

    Qu’ont en commun la Turquie, la Mongolie et la Iakoutie ?
    Grands espaces, grandes épopées, étonnantes traditions musicales…

    Nous vous convions à une soirée spéciale turco-mongole avec
    Altay Manço, écrivain et psychologue,
    Cyprien Bole, musicien
    Emilie Maj, ethnologue

    Repas convivial aux saveurs de l’Anatolie

    Rencontre littéraire avec Altay Manço autour du roman «Métissages 100 %» : Des « routes de soi » qui se croisent. Une jeune femme issue de l’immigration en conflit avec ses parents. Un professeur de langues orientales qui tourne en rond. 100 % d’improbables métissages eurasiatiques.

    Lecture d’extraits et commentaires par Emilie Maj, mis en musique par Cyprien Bole (Chants diphoniques mongols, guimbardes iakoutes et flûtes)

    Dédicace par les auteurs :
    Altay Manço, Métissages 100 %, L’Harmattan, 2012
    Cyprien Bole, Chanteur à deux voix, Les deux oreilles, 2011
    Emilie Maj, Parlons Sakha, Langues et culture iakoutes, L’Harmattan, 2010


    Réservez votre place à la conférence musicale (entrée gratuite à 21 h 30, places limitées) et au repas à 20 h 00 par SMS par téléphone au 06 07 62 93 77 ou par mail à info.imaginaires@gmail.com. Places limitées !

    Consultez la succulente carte du Kibele : www.kibele.fr/restaurant.php

    Retrouvez sur le net :
    « Métissages 100 % » : www.irfam.org/index.php?articleID=67&themeID=9
    « Chanter à deux voix » : www.les2oreilles.fr/methode-chant-diphonique.html
    « Parlons Sakha » : www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=32162

    La Maison Européenne des Imaginaires
    www.eurimaginaires.canalblog.com

soirée du 8 juin : vente des billets



les billets sont en vente tous le jeudis soir de 18 à 20h au restaurent SIZIN 45, rue du Fbg Montmartre dans le 9eme M° Le Pelletier (paiement possible en 2 ou 3 fois)

vente en ligne sur http://www.aiousinan.net

La grande soirée gastronomique et musicale entre Turcs et Français aura lieu le samedi 8 juin 2013 au Carré Rouge, espace PARIS EST MONTREUIL:

Le but ? se découvrir, s'apprécier autour de la gastronomie des deux pays et de leurs musiques traditionnelles, modernes ou jazz manouche, rire, chanter et danser ..... plusieurs invités surprise (écrivains, artistes) 

Adresse: CARRE ROUGE, espace PARIS EST MONTREUIL 128, rue de Paris 93100 MONTREUIL

tarif 62 €, 
nombre de places limité à 220 personnes. 

Organisateur "SINAN

Réservations: 06.21.58.00.02   chantal.aiou@neuf.fr

photo: Aznavour traiteur

''Çamlıca cami'' projesinde değişiklik - Mosquée de Camlica


Çamlıca'ya yapılması planlanan cami projesinde ufak bir değişiklik yapıldı.20 Şubat 2013 Çarşamba 21:34
Çamlıca cami projesinde değişiklik
Üsküdar Belediye Başkanı Mustafa Kara, Çamlıca'ya yapılması planlanan cami ile ilgili, ''Zaman kulesi dediğimiz zaman minaresi, projeden çıkarıldı'' dedi.

Kara, caminin yapılacağı Çamlıca Tepesi'nde gazetecilere yaptığı açıklamada, yapılacak camiyle ilgili proje yarışmasının sona ermesinin ardından, derneğin avan projeyi kabul ettiğini anımsattı. Kara, avan projeye göre uygulama projelerinin çizilmeye başlandığını anlatarak, buna göre Üsküdar Belediyesi olarak ruhsatı verdiklerini ifade etti.
Ruhsatın verilmesinin ardından mimari ayrıntıların ortaya çıkmaya başladığını belirten Kara, ''Özellikle kubbe çapı, minare yükseklikleri, minare sayısı ve bence en önemli kısımları Türk-İslam eserleri müzesi ve atölyeleriyle beraber. Cami sadece bir ibadet alanı değil, aynı zamanda bir kültür merkezi, bir yaşam alanı'' diye konuştu.
Kara, caminin 15 bin metrekare kapalı alana yapılacağını, diğer alanların ise rekreasyon alanları olduğunu, beraberinde, kafeteryalar, seyir teraslarının olacağını söyleyerek, Çamlıca'nın gerçek anlamda halka açılacağını, böylelikle bu kulelerin de ortadan kaldırılarak Küçükçamlıca'ya götürüleceğini kaydetti.
Cami projesinin genel konseptinde büyük bir değişiklik olmadığını belirten Kara, şöyle devam etti:
''Yapı çok gözükür bir yapı olunca, yapılan en ufak bir değişiklik bile biraz farklıymış gibi geliyor. O da bir zaman minaremiz vardı. Yani yedinci minare diye ifade ettiğimiz zaman saati. O zaman saati artık olmayacak. Onun yerine o bölgede havuzlar ve kitap satışlarının olabileceği bir sergi salonu, İslam eserlerinin ve klasik Türk eserlerinin, hat, ebru sanatı dediğimiz sanatların sergilenebileceği bir sergi alanı oluşacak. Avlusu daha geniş bir hale gelmiş oldu. Caminin kubbe çapı İstanbul'u simgelemesi adına 34 metre, yüksekliğinin 72 metre olması var. Zaman kulesi dediğimiz zaman minaresi, projeden çıkarıldı.''

Istanbul: le prix des taxis augmente demain


A compter de ce vendredi, les quelque 18.000 taxis d’Istanbul augmentent le prix de leur course. Les passagers doivent désormais débourser 1,83 TL (0,77 €) par kilomètre parcouru, soit dix centimes de plus que précédemment. Le prix forfaitaire de départ passe de 2,70 TL à 2,95 TL (1,25 €).
Notez aussi que vous ne pourrez plus faire patienter le conducteur sans y mettre de votre poche. Les cinq premières minutes d’attente étaient gratuites jusqu’à aujourd’hui ; le tarif passe désormais à 70 centimes par minute écoulée dès la première minute, a indiqué hier le président de la Chambre des taxis. Yahya Uğur précise que la dernière augmentation de tarif remonte à novembre 2011 et impute la nouvelle hausse à celle du prix des carburants et des véhicules.
Anne Andlauer ( www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 21 février 2013

TURQUIE: flambée des prix du pain


Le prix du pain, "ekmek", l'un des aliments de base les plus consommés en Turquie, a subi cette semaine une augmentation de 15 centimes.
Une livre turque, 1 TL. C'est, depuis le 18 février, la somme qu'il faut débourser pour acheter un pain de 250 grammes (soit 42 centimes d'euro à ce jour). Une augmentation conséquente, puisque 85 kuruş (centimes de livre) suffisaient auparavant pour acheter son pain du jour. En cause : le coût de la farine, de la levure, du carburant et du gaz naturel, argumente la Chambre des boulangers d'Istanbul. Ces matières premières auraient connu une hausse d’environ 25% l'année dernière, selon cette même source.
Ce n'est pas la première fois qu'une augmentation de ce type est observée. En juin 2008, le prix d'un pain était passé de 75 à 85 kuruş, provoquant un fort mécontentement populaire. Car le pain est aussi essentiel au repas des Turcs qu'à celui des Français. Servi en tranches, il est un élément important du petit-déjeuner traditionnel, et chaque quartier possède ses boulangeries.
Photo Arne Kruege, Flickr/CC
Haro sur le gaspillage
Dans le même temps, le gouvernement turc lance une guerre au gaspillage, en commençant par le pain. Le 1er janvier 2012, le pain dit “normal”, c’est-à-dire le plain blanc que les Turcs consomment le plus couramment, était déjà passé de 300 à 250 grammes. La semaine dernière, une autre polémique a fait rage suite au lancement d’une campagne intitulée "Apportez votre pain rassis, obtenez-en un frais". L'Union des employés de l'industrie du pain était à l'origine du mouvement, provoquant la colère de l'Union des boulangers d'Istanbul.
Les initiateurs de la campagne – très peu suivie dans les boulangeries – rétorquent qu’elle n’est pas destinée à durer et qu’elle vise à évaluer précisément l’ampleur du gaspillage. Le ministère de l’Agriculture estimait l’an dernier que cinq millions de pains atterrissaient tous les jours à la poubelle. Le pays produit 82 millions de pains frais chaque jour.
Marlène Alibert (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 21 février 2013

BURSA – Le premier film sur la ville, filmé par Gaumont Pathé en 1890, a été retrouvé


L'agence de presse Anatolie rapporte que les premières vidéos tournées par la société de cinéma français dans l'ancienne capitale de l'Empire ottoman, à l’époque du Sultan Abdülhamit II, ont été retrouvées.
Le film rendu public cette semaine, daté de 1890 et d'une durée de cinq minutes, est déjà considéré comme l'une des plus importantes ressources visuelles relatives à la ville Bursa, l’ancienne Brousse, capitale ottomane jusqu’en 1363. Le sultan Murat Ier la remplace alors par Andrinople (Edirne), jusqu’à ce que Mehmet II conquière Constantinople et en fasse sa capitale, en 1453.
La première partie de la séquence, intitulée "En Asie mineure, sur les routes d'Anatolie", se concentre sur le voyage des populations d'Anatolie vers Bursa. La seconde présente des vues générales de la ville, en s'attardant sur les célèbres bains turcs et les jardins de Muradiye.
La vidéo aurait été retrouvée par Mahmut Sabuncuoğlu, directeur de l'entreprise qui s'occupe actuellement de la restauration du complexe de Muradiye. Il l’a ensuite remise au maire de Bursa.

Bursa'da Çekilen İlk Film ile Haberdesin
Et pour les amateurs d’archives, n’hésitez pas à voir ou à revoir ces images tournées à Istanbul par Maurice Pialat au début des années 1960…

Manon Gay (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 21 février 2013

mercredi 20 février 2013

Enfin, l'idée progresse, il était temps:Des fermes sur les toits de Paris


Depuis plus de 20 ans des architectes proposent des projets de tours dans lesquelles pourraient cohabiter les bureaux, l'habitat, des "fermes" de cultures potagères et les points de vente: coût du transport = 0, impact sur environnement= bien inférieur aux légumes venant d'Afrique (même si je n'ai rien contre les Africains), fraîcheur des produits,=imbattable, récupération et recyclage d'eau de pluie, compostage des déchets, bref, une avancée très sensible, alors qu'est-ce qui bloque ?? 

18/02/2013
Vu sur le Web - Le site Internet du Journal du Dimanche revient sur l’idée originale d’une société parisienne : développer l’agriculture urbaine en implantant des fermes à Paris et sa région, sur les toits des immeubles ou sur les terrains désaffectés. Urbagri vient de recevoir le prix Créatrices d’avenir décerné par la région Île-de-France et la préfecture régionale. Extraits.

Rendre nos villes fertiles et comestibles

« Pourquoi ne pas développer, en ville, une agriculture urbaine? Et même créer une filière agricole, du producteur au consommateur, en plein Paris? C’est possible, et ce projet, a priori un peu fou, est en passe de se réaliser. C’est celui d’une jeune société parisienne, UrbAgri, fondée par Virginie Dulucq. »
« "UrbAgri monte le projet du début à la fin : choix de l’emplacement, étude du bâtiment pour un projet sur les toits, apports de solutions techniques (arrosage, exposition au vent), choix des cultures et des cultivateurs (particuliers ou associations d’insertion), commercialisation. Les produits peuvent aller aux cultivateurs, aux salariés de l’entreprise ou être vendus aux habitants du quartier", explique Virginie Dulucq »
Lire l’intégralité de l’article sur le jdd.fr

IZMIR ce soir: film "la fille de Monaco"

"La fille de Monaco"

Thématique Cinéma
Date de debut 2013.02.20 18h30
Date de fin 2013.02.20
Intro L'institut français d'Izmir diffuse mercredi le film "La fille de Monaco".
Description Sorti en 2008, cette comédie dramatique est réalisée par Anne Fontaine et met en scène Fabrice Luchini, Roschdy Zem et Louise Bourgoin.
L'entrée est libre, le film est en français, sous-titré en Anglais et dure 1h 35min.
Contact 0.232.466.00.13
Adresse Cumhuriyet Bulvari No: 152, Alsancak -
Izmir
Lien http://ifturquie.org/fr/index.php/events/view/1043
Posté par MA

TURQUIE: Moins de rakı, mais plus de champagne!


En 2012, les Turcs ont délaissé leurs breuvages alcoolisés traditionnels – tels que le rakı et le vin – au profit du champagne, tandis que la consommation nationale d’alcool a augmenté de 6,3 % sur un an, rapporte le quotidien Hürriyet.
Selon les données communiquées par l’Autorité de régulation du marché du tabac et de l’alcool, les ventes de boissons alcoolisées, y compris de boissons importées, ont augmenté de 67 millions de litres pour atteindre 1,1 milliard de litres. Cette progression s’explique surtout grâce aux ventes de bière (998,9 millions de litres), bien que celles de champagne aient aussi effectué un bond considérable (91,1 % d’augmentation pour s’établir à 826.770 litres sur 2012).
Les importations d’alcool ont pourtant baissé de 3,3 %. Le déclin des bières importées est encore plus flagrant (26,4 %), ce qui laisse penser que les Turcs ont privilégié les bières locales. Les exportations ont également diminué de 11 % (11,2 millions de litres), notamment à cause du déclin des exportations de vodka et de liqueurs. Quant au vin et au rakı, ils sont les grands perdants de 2012. La consommation de rakı a diminué de 8 % (pour un total de 44,6 millions de litres) et celle du vin de 3,8% par rapport à 2011.
Fanny Fontan (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 20 février 2013

ISTANBUL: de la rénovation dans l'air ..


L’incendie d’un bâtiment historique de l’université de Galatasaray, il y a près d’un mois, avait relancé le débat. La découverte le long des remparts byzantins du corps de Sierra Sarai, une Américaine assassinée il y a quelques semaines, a renforcé la polémique... Istanbul doit préserver et mettre en valeur son précieux patrimoine. La municipalité annonce une série de chantiers.
Trois projets sont en ligne de mire. Trois bâtiments, trois symboles du patrimoine historique de la ville d’Istanbul : la muraille de Constantinople, la Tour de Galata et le Grand Bazar.
La muraille de Constantinople
Construits à l'origine par Constantin 1er, les sept kilomètres de remparts encore visibles à notre époque ne sont quasiment jamais visités, livrés à l'abandon et aux squatteurs. Pire: leur longueur pourrait encore diminuer si rien n’est fait face au délabrement des murs.
Le sujet est un serpent de mer. Il revient aujourd’hui sur le devant de la scène suite à la découverte du corps de Sierra Sarai le long de la muraille, dans le quartier de Cankurtaran. Le maire de la municipalité de Fatih, Mustafa Demir, insiste sur la nécessité d’une vaste rénovation de ces murs dans une interview accordée au Hürriyet Daily News. Mais le programme semble stagner puisque le projet vient d’être rejeté par la municipalité d’Istanbul.
L’entreprise s’annonce délicate : il faut rénover sans endommager. L’expérience de travaux de reconstruction effectués dans les années 80 a laissé un goût amer aux Stambouliotes. Une partie de ces murs, notamment au niveau de Topkapı et de Yedikule, avait été abimée par le projet.
Le Grand Bazar
Symbole historique de la ville, le Grand Bazar est lui aussi au cœur de la tourmente. Bâti à l’époque de Mehmet le Conquérant, le bazar s’est élargi autour de ce qui était au départ un petit bedesten (entrepôt vouté). Au cours de l’histoire, ce grand labyrinthe a de nombreuses fois été restauré à la suite de tremblements de terre ou d’incendies.
La rénovation du site, qui emploie plus de 3.600 personnes et reçoit des centaines de visiteurs chaque jour, devient pressante. Le projet semble en bonne voie, puisque le Conseil des monuments vient d’approuver les deux tiers du nouveau programme de rénovation, a annoncé Mustafa Demir. "Une fois que l'ensemble du plan sera approuvé, nous allons commencer les travaux de restauration" promet-il.
La Tour de Galata
Cet autre symbole constitue le point le plus élevé des fortifications génoises de Galata. Un nouveau projet de rénovation a, lui aussi, été approuvé par l’assemblée municipale, annonce la mairie sur son site internet, sans toutefois préciser quelles parties de l'édifice seront concernées. Près de 95% du coût devrait être supporté par l’administration provinciale (özel il idaresi). Ce bâtiment n’en est pas à sa première remise en état. La tour a déjà été rénovée de nombreuses fois au cours de l’histoire, suite à des séismes, incendies et aux effets du temps et de la météo.
Lola Monset (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 20 février 2013

soirée du 8 juin 2013: vente des billets



Première séance de vente des billets: jeudi 21 février de 18 à 20h au restaurent SIZIN 45, rue du Fbg Montmartre dans le 9eme (je ne prends pas les cartes bleues mais on peut payer en 2 ou 3 fois)

vente en ligne sur http://www.aiousinan.net

La grande soirée gastronomique et musicale entre Turcs et Français aura lieu le samedi 8 juin 2013 au Carré Rouge, espace PARIS EST MONTREUIL:

Le but ? se découvrir, s'apprécier autour de la gastronomie des deux pays et de leurs musiques traditionnelles, modernes ou jazz manouche, rire, chanter et danser ..... plusieurs invités surprise (écrivains, artistes) 

Adresse: CARRE ROUGE, espace PARIS EST MONTREUIL 128, rue de Paris 93100 MONTREUIL

tarif 62 €, 
nombre de places limité à 220 personnes. 

Organisateur "SINAN

Réservations: 06.21.58.00.02   chantal.aiou@neuf.fr

photo: Aznavour traiteur

AÉROPORTS DE TURQUIE – Bientôt un seul contrôle de sécurité ?


Le Conseil de sécurité de l’aviation nationale civile (Milli Sivil Havacılık Güvenlik Kurulu) envisage de supprimer les portiques et scanners à rayons X utilisés à l’entrée des aéroports de Turquie, rapporte le quotidien Habertürk.
A ce jour, les voyageurs sont tenus à au moins deux contrôles de sécurité dans ces aéroports : le premier à l’entrée (les simples visiteurs y sont également soumis), le second après le passage à la douane. Aux heures et jours de pointe, le premier contrôle provoque régulièrement de longues files d’attente. Le problème se pose notamment à l’aéroport Atatürk d’Istanbul, où un millier d’avions (soit plus de 100.000 passagers) décollent et atterrissent en moyenne l’été.
Le Conseil de sécurité de l’aviation nationale civile réfléchit à un système qui n’obligerait les voyageurs qu’à un seul contrôle sans pour autant diminuer le niveau de sécurité au sein des aéroports.
Anne Andlauer (www.lepetitjournal.com/istanbul) mardi 19 février 2013

mardi 19 février 2013

soirée du 8 juin: vente des billets



Première séance de vente des billets: jeudi 21 février de 18 à 20h au restaurent SIZIN 45, rue du Fbg Montmartre dans le 9eme (je ne prends pas les cartes bleues mais on peut payer en 2 ou 3 fois)

vente en ligne sur http://www.aiousinan.net

La grande soirée gastronomique et musicale entre Turcs et Français aura lieu le samedi 8 juin 2013 au Carré Rouge, espace PARIS EST MONTREUIL:

Le but ? se découvrir, s'apprécier autour de la gastronomie des deux pays et de leurs musiques traditionnelles, modernes ou jazz manouche, rire, chanter et danser ..... plusieurs invités surprise (écrivains, artistes) 

Adresse: CARRE ROUGE, espace PARIS EST MONTREUIL 128, rue de Paris 93100 MONTREUIL

tarif 62 €, 
nombre de places limité à 220 personnes. 

Organisateur "SINAN

Réservations: 06.21.58.00.02   chantal.aiou@neuf.fr

photo: Aznavour traiteur

Parution du livre "the Rebirth of Southeast Anatolia, land of lakes" par William Armstrong (en anglais)


The rebirth of southeast Anatolia ?
William Armstrong - william.armstrong@hdn.com.tr

‘The Rebirth of Southeast Anatolia: Land of the Lakes’ by David Barchard (Bristol Books, 2009, 60TL, pp 144)
Mid-way through this book on the controversial Southeastern Anatolia Project (GAP), the author questions a local man about the displacements caused by the building of the Karakaya Dam on the Euphrates: “‘What happened to the people? Weren’t they upset?’ I asked our waiter. ‘They were all right,’ he told me. ‘They got the compensation money and went to the town with it. No one is sorry about what happened, because the whole region got richer as a result.’” This exchange is typical of the book’s positive overall tone – perhaps surprising to anyone familiar with the GAP project, which certainly has its fair share of critics.

GAP is an integrated development project in southeastern Turkey, designed to develop agriculture and irrigation, as well as hydroelectric power production and rural infrastructure. First initiated in the early 1970s, hundreds of billions of dollars have so far been spent on it, including the construction of 22 dams on the Euphrates and Tigris rivers. The project is transforming farming methods, the local economy, and Turkey’s energy provision, but it has also come in for some well-documented criticism. Thousands of people have been forcibly relocated over the course of the transformation (many reportedly without receiving any compensation whatsoever), numerous precious ancient sites have been flooded and lost forever, and countless endangered species in the region have either been lost or face imminent extinction. There’s also the not-insignificant fact that the agricultural changes have generally benefitted only large landowners, with most smaller farmers unable to benefit and therefore having to migrate to the cities to work as unskilled laborers.

Barchard dismisses these concerns with an airy wave of the hand, portraying GAP’s gainsayers as little more than pessimistic Cassandras. “Romantics in the Western world may shudder at this transformation of one of the oldest and most picturesque lands in the world,” he writes:

“Coming from a world where prosperity and comfort are taken for granted, Westerners tend to view the changes with little affection and sometimes even open disapproval. That is easy to do when electricity, tap water, education, clothes and money in the bank are things you and your community have always known.”

For him, GAP is the only lifeline available for a region that would otherwise be condemned to endless, remorseless poverty. He pulls no punches when addressing the legion of Western journalists lining up to condemn the project: “Given the abject poverty that persists in many villages in this region, one can only wonder at the strength of an international campaign against the dams – a campaign whose effect, if it were to succeed, would be to ensure that this region remained backward.” Even those locals forced to relocate are described by Barchard as being fully supportive of the changes: “With no exceptions … ordinary people in southeastern Turkey celebrate the changes that are making them part of the prosperous section of the modern world.” Adding to this determinedly optimistic hue are the beautiful, panoramic photographs of the region contributed by Manuel Çıtak.

It’s not possible to tell whether “The Rebirth of Southeast Anatolia” was funded by Turkey’s Ministry of Development, but Barchard’s endorsement is unequivocal. Still, for all GAP’s undoubted drawbacks (however frustratingly underexplored these remain here), its positive effects are equally incontestable. A simple Google-search will yield almost no positive reports in the Western media about the project, so with few others apparently willing to make that case, this book is certainly a bold undertaking. Nevertheless, Montaigne once wrote that “the birth, nourishment, and increase of each thing is the dissolution and corruption of another,” and this complex truth is absolutely the case with the GAP project. If Barchard had focused a little more on what is being lost, along with what is being gained, his conclusions would have been more subtle, and perhaps therefore more convincing.

Bakan Çelik Yaşar Kemal'le buluştu


Görüşme oldukça sıcak bir atmosferde gerçekleşti.18 Şubat 2013 Pazartesi 19:01
Bakan Çelik Yaşar Kemalle buluştu
Hemşehri olan Kültür ve Turizm Bakanı Ömer Çelik ile Yaşar Kemal arasındaki sohbet ilk olarak Adana üzerine başladı.
Görüşmeye diğer bir Adanalı ünlü isim Nebil Özgentürk de katıldı.
Oldukça sıcak geçen buluşmada edebiyattan sanata, kültürden politikaya kadar çok geniş bir yelpazede renkli konular konuşuldu.
Yaklaşık iki saat süren görüşmenin "yarıda kaldığını" düşünen ev sahibi Yasar Kemal ve Ömer Çelik önümüzdeki günlerde bu keyifli sohbete bir akşam yemeğinde devam etme konusunda sözleşti.

ISTANBUL, HIER ET AUJOURD’HUI – Ortaköy de 1893 à 2013


Nouveau voyage dans le temps, quelque part entre Constantinople et Istanbul. Chantal et Jacques Périn nous emmènent en balade à Ortaköy…
Ortaköy (hier)Au XIXe siècle, Ortaköy (village du milieu) est considéré comme l’une des limites de la ville d’Istanbul, bien avant que le cadastre n’en définisse le contour en perpétuel changement.
L’économie de ce minuscule village de la rive occidentale du Bosphore se partage alors entre la pêche, activité commune à tous les hameaux côtiers, et l’exploitation d’une mine de charbon sur la colline qui le surplombe.
Cette mine aujourd’hui disparue est totalement recouverte d’habitations.
Si Ortaköy est majoritairement un village juif séfarade depuis de nombreuses générations, d’autres communautés s’y sont implantées. Bulgares, Arméniens, Grecs ont laissé de nombreux vestiges de leur présence.


Photographes G. Berggren (circa 1893)
Les vieilles maisons en bois, l’église Saint Phokas, la synagogue “Arbre de vie” et le cimetière dont les épitaphes des tombes en hébreux, arménien, grec, espagnol et français en sont les témoignages.
Mais c’est avant tout la mosquée Mecidiye, délicatement posée sur le promontoire qui portait autrefois le nom de Kleidion (clefs du Bosphore), qui retient particulièrement l’attention.
A la demande du Sultan Abdülmecit 1er, elle est construite entre 1853 et 1855 par l’architecte arménien Nikogayos Balyan, fils de l’architecte du Palais de Dolmabahçe.
Le Sultan Abdülhamid II, désireux de ne jamais s’éloigner du Palais de Yıldız, fit d’elle, et de la mosquée Hamidiye, les sites privilégiés des cérémonies du Selamlık.
Ortaköy (aujourd’hui)Bien que surplombé depuis 1973 par le premier pont du Bosphore (Boğaziçi Köprüsü), Ortaköy n’a rien perdu de son charme et, loin d’être déserté, il est même devenu un des lieux “branchés” de la côte européenne.
Certes, on n’entend plus le cri des pêcheurs venus vendre leur poisson sur la place du débarcadère mais, le dimanche, on peut encore flâner sur le petit marché d’antiquités avant de déguster un kumpir (pomme de terre fourrée) Köprubaşı Sokak ou de délicieux mantı, Değirmen Sokak à “l’Ortaköy Mantı Evi”.
Photographe J.P. (2012)
Enfin, les noctambules pourront également se donner rendez-vous dans l’une des nombreuses discothèques dont certaines, à ciel ouvert et au ras de l’eau, permettront de poursuivre la fête jusqu’à l’aube.
Quant à la jolie petite mosquée baroque, actuellement empaquetée, elle attend avec patience que les restaurations entreprises depuis peu lui redonnent l’éclat de sa jeunesse.
Jacques et Chantal Périn (www.lepetitjournal.com/istanbul) mardi 19 février 2013
Retrouvez ici notre interview des auteurs de cette chronique et leur dernier article consacré au Pont de Galata. Jacques Périn et sa femme Chantal ont aussi crée un site en hommage à la Turquie : Turquieaimée

ISTANBUL: LA PASSERELLE – L’association des familles franco-turques se renouvelle


Basée à Istanbul, La Passerelle accueille des familles franco-turques depuis près de 20 ans. Cette association destinée à l’intégration de ces familles en Turquie voit évoluer l’immigration. Face à ces changements, Florence Öğütgen-Heilbronn, la présidente, et Benoit Gilles, le secrétaire, expliquent au petitjournal.com leur désir d’évolution.
Lepetitjournal.com d’Istanbul : Pouvez-vous présenter votre association et son histoire?
Florence Öğütgen-Heilbronn (avec Benoit Gilles, photo LM): Nous avons créée l’association en 1994. Nous étions six femmes, six copines. A l’époque, la communauté franco-turque n’était pas très présente et surtout pas très constituée. Nous voulions lui donner une identité. Il y a avait une communauté d’expatriés mais leurs regards sur ces Français, venus rejoindre leurs conjoints, n’étaient pas forcément positifs. Je voulais faire le lien entre ces deux groupes. Notre souhait était que les Franco-Turcs se sentent bien et aient conscience de leur richesse biculturelle. Ca a bien marché. Je suis quelqu’un d’assez sociable et j’ai beaucoup parlé de la Passerelle aux hommes d’affaires français. Ils se sont rendus compte que les Franco-Turcs étaient des gens qui disposaient à la fois de la culture française et de la langue turque. Il était plus facile pour eux d’embaucher ces Français dans leurs sociétés plutôt qu’un Turc qui parle français, pour une question de culture. La Passerelle est donc un peu devenu le centre de recrutement de ces entreprises. Les expatriés se sont rendus compte de l’intérêt économique et social de l’association.
Quelles sont les évolutions qui vous ont poussés à vous transformer ?
Lorsque ma génération a été bien implantée, on est devenu une association plus conviviale, avec des activités. D’abord parce qu’il y a eu internet. Les gens n’avaient plus besoin de passer par nous pour avoir les informations administratives. Nous étions alors vidés de notre motivation de départ qui était d’informer les gens. On a un peu changé d’optique et on est devenu davantage un groupe d’amis. Nous donnions un peu moins d’informations et nous faisions plus d’activités. Aujourd’hui, on est face à une troisième évolution. Nous faisons un “mix” entre les deux.
Trois étapes qui correspondent à trois vagues d’immigration ?
Dans les années 80-90, beaucoup de Franco-Turcs sont arrivés. Il s’agissait essentiellement de femmes qui rejoignaient leurs compagnons. Puis l’immigration a changé. Il y a eu un gros arrivage de Turcs de France. On s’est adapté à ça. Les Turcs qui reviennent en Turquie ne connaissent pas ce pays et ont un besoin de France. Mais ce ne sont pas forcément des gens très associatifs. Ils prennent mais ne donnent pas. Aujourd’hui, nous sommes face à une nouvelle immigration avec de plus en plus d’hommes. La société française a évolué et ce ne sont plus forcément les femmes qui suivent leurs maris. Cela risque encore de se développer avec le phénomène Erasmus.
Comment comptez-vous vous adapter à cette nouvelle immigration ?
On s’est rendu compte que l’association vieillissait dans la composition de ses membres. On a voulu renouveler le bureau et on a intégré des jeunes, notamment Benoit. Ils ont cette énergie que nous n’avons pas forcément et surtout, ils n’ont pas le même regard que nous, parce qu’ils arrivent et découvrent le pays. Moi par exemple, je ne peux plus expliquer comment s’intégrer parce que je suis intégrée. Mais nous sommes là pour apporter l’expérience. Nous avons décidé de refaire toute une présentation de l’association et d’améliorer notre visibilité dans tous les endroits où les familles arrivent : consulat, écoles, associations… Nous souhaitons attirer de nouveaux membres, surtout des jeunes.
Il existe deux autres associations d’accueil des familles françaises à Istanbul, la concurrence n’est pas trop rude ?
Non parce que nous n’avons pas les mêmes objectifs. Dès le départ, je voulais que les gens se mélangent dans les trois associations. Istanbul Accueil est surtout faite pour les gens de passage, pour les femmes d’expatriés qui veulent découvrir la ville. L’Union française est plutôt une association de résidents qui organisent des week-ends de détente. Alors que la Passerelle est là pour aider les jeunes à s’intégrer et trouver du travail. Nous proposons des activités mais elles sont différentes et beaucoup moins nombreuses qu’Istanbul Accueil.
Quelles difficultés rencontrez-vous aujourd’hui?
Nous ne sommes pas une association mourante. Nous avons plus d’une centaine de membres. Le problème de la Passerelle, c’est que les gens travaillent. Nous n’avons pas beaucoup de gens disponibles. Nous avons même dû interrompre la publication de notre journal à cause de cela. Personne n’a le temps de s’en occuper et c’est vraiment dommage. D’ailleurs, nous lançons un appel à candidatures !
Concrètement, comment faire pour devenir membre de La Passerelle ?
Les statuts de l’association exigent que les membres soient des couples binationaux, franco-turcs. Mais nous sommes très ouverts. Il suffit de payer la cotisation de 50 TL par an pour devenir membre.
Lola Monset (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mardi 19 février 2013
Pour toute information : http://passerellefrancoturque.over-blog.com/

lundi 18 février 2013


Première séance de vente des billets: jeudi 21 février de 18 à 20h au restaurent SIZIN 45, rue du Fbg Montmartre dans le 9eme (je ne prends pas les cartes bleues mais on peut payer en 2 ou 3 fois)

vente en ligne sur http://www.aiousinan.net

La grande soirée gastronomique et musicale entre Turcs et Français aura lieu le samedi 8 juin 2013 au Carré Rouge, espace PARIS EST MONTREUIL:

Le but ? se découvrir, s'apprécier autour de la gastronomie des deux pays et de leurs musiques traditionnelles, modernes ou jazz manouche, rire, chanter et danser ..... plusieurs invités surprise (écrivains, artistes) 

Adresse: CARRE ROUGE, espace PARIS EST MONTREUIL 128, rue de Paris 93100 MONTREUIL

tarif 62 €, 
nombre de places limité à 220 personnes. 

Organisateur "SINAN

Réservations: 06.21.58.00.02   chantal.aiou@neuf.fr

photo: Aznavour traiteur

soirée franco-turque du 8 juin 2013: mise en vente des billets - date - lieu


Première séance de vente des billets: jeudi 21 février de 18 à 20h au restaurent SIZIN 45, rue du Fbg Montmartre dans le 9eme (je ne prends pas les cartes bleues mais on peut payer en 2 ou 3 fois)

La grande soirée gastronomique et musicale entre Turcs et Français aura lieu le samedi 8 juin 2013 au Carré Rouge, espace PARIS EST MONTREUIL:

Le but ? se découvrir, s'apprécier autour de la gastronomie des deux pays et de leurs musiques traditionnelles, modernes ou jazz manouche, rire, chanter et danser ..... plusieurs invités surprise (écrivains, artistes) 

Adresse: CARRE ROUGE, espace PARIS EST MONTREUIL 128, rue de Paris 93100 MONTREUIL

tarif 62 €, 
nombre de places limité à 220 personnes. 

Organisateur "SINAN

Réservations: 06.21.58.00.02   chantal.aiou@neuf.fr

photo: Aznavour traiteur

27eme festival des contes d'hiver à PARIS


  • En ce moment se déroule au Centre Mandapa le festival "Contes d'Hiver", narrations en musique. J'y participe pour ma part le jeudi 21 février avec mon tout nouveau spectacle de musique en narrations, EVVEL-I ASHIKAR ou "Si le chant m'était conté"... je vous attends nombreux pour le découvrir!

IZMIR: Mask Museum aims to keep famous faces alive


İZMİR - Anatolia News AgencyTurkey’s first mask museum in İzmir takes molds of famous people’s faces and makes masks of them. The museum wants to enrich its collection by making the masks of many other renowned people and giving them life
The Mask Museum’s workshop instructor Eylel Sürer says it itakes eight to 10 minutes to take the mould of a face and it turns into a mask in 15-20 minutes. She also calls for famous figures to help for their life mask collection , saying, ‘If the artists do not want to come to İzmir, we can go to them.’ AA photos
The Mask Museum’s workshop instructor Eylel Sürer says it itakes eight to 10 minutes to take the mould of a face and it turns into a mask in 15-20 minutes. She also calls for famous figures to help for their life mask collection , saying, ‘If the artists do not want to come to İzmir, we can go to them.’ AA photos
The İzmir Mask Museum, Turkey’s first mask museum opened by the Konak Municipality, attempts to immortalize the faces of famous figures in masks while they are still alive.

Besides various masks made by artists in different categories, the museum also displays “death masks,” which have been made taking the face molds of people after their death. Among these faces are famous poet Tevfik Fikret and writer Aziz Nesin.

The museum has also developed its “life masks” project following a bitter experience at the workshop working to enrich the number in the “death masks” collection.

İzmir Mask Museum Workshop instructor Eylem Sürer said the previous goal of the workshop was to create masks of famous figures’ faces in order to immortalize them.

She said the same method was used around the world to create masks of dead people, adding that it was not easy to approach the families of dead people.

Sürer said that to widen the death mask collection, they attempted to take a mold of renowned journalist Mehmet Ali Birand, who recently died. “As the museum, we want to immortalize dead people by taking a mold of their face. The day after Birand died, we asked permission from his family, but the grieving family did not give permission. Of course we should understand them. After having this experience, we thought that it would be easier to take molds of living people’s faces. Lots of people may want it. This is why we believe that we won’t have a problem. Our goal is to reach famous people. Then we will make a first by making the collection of “life masks” in our museum.”

She said it was very easy to take the mold of a face. “It takes eight to 10 minutes and it turns into a mask in 15-20 minutes.”

‘Life mask collection’

Sürer said that in the “life mask” collection, they first asked to make masks of all living Yeşilçam (Turkey’s Hollywood) stars.

“We also want to have the mask of renowned names of the music, literary and art worlds. I want to make the mask of the sultan of Turkish cinema, Türkan Şoray, as well as comedian Levent Kırca and musician Erkin Koray. Also, we should take the mold of writer Yaşar Kemal’s face while he is alive. If the artists do not want to come to İzmir, we can go to them.”
February/18/2013 HÜRRIYET DAILY NEWS