Notre objectif est de réunir les cultures turques, Moyen-orientales et françaises pour une meilleure connaissance entre nos peuples, une coopération, une amitié durable.
C’est la question que pose, en couverture de la revue Leman cette semaine, un Turc à un autre qui l’interpelle pour un sondage. Une enquête d’opinion (bien réelle celle-là) publiée ces jours-ci révèle en effet que 70,3% des personnes non handicapées interrogées disent ne pas vouloir d’un voisin handicapé
Ce genre de sondage est courant en Turquie. Dans le dessin de Leman, après avoir répondu “non” aux trois questions préalables de celui qu’il veut interroger, l’enquêteur conclut d’ailleurs : “Le sondage est fini.” Son enquête portait donc, selon toute vraisemblance, sur l’acceptation des différences dans la société turque.
La semaine dernière, les médias publiaient les résultats d’un sondage de la fondation Sabancı, réalisé dans le cadre d’une “plate-forme de prévention et de lutte contre la discrimination des personnes handicapées.” Le questionnaire a été soumis à 419 personnes dans neuf provinces du pays. L’échantillon, en plus d’être relativement faible, n’est pas représentatif puisque selon les compte-rendus, 241 des personnes interrogées étaient handicapées et 178 ne l’étaient pas.
Les médias s’arrêtent peu sur ces “détails” mais il faut les garder en mémoire pour analyser les résultats publiés. A savoir:
- 70,3% des personnes non handicapées interrogées disent ne pas vouloir d’un voisin handicapé moteur
- 67,5% des personnes non handicapées interrogées ne soutiennent pas l’idée de quartiers ou de résidences séparés pour les personnes handicapées
- 98,9% des personnes non handicapées interrogées estiment que les personnes handicapées doivent pouvoir travailler
- 57,3% des personnes interrogées veulent des écoles séparées pour les enfants handicapés
Résultats plus contrastés, donc, que ne le laissent penser les titres des journaux et la Une de Leman (dont le surtitre est: “Après les non-musulmans, les homosexuels et les femmes célibataires (...) 70,3% de la société turque dit non à un voisin handicapé!”) Il n’empêche que régulièrement, des enquêtes plus représentatives révèlent la difficulté des Turcs à s’accommoder des différences d’autrui, quelles qu’elles soient.
En 2009, par exemple, un sondage réalisé auprès d’un échantillon représentatif de 1.715 personnes dans 34 provinces, co-signé par l’université de Bahçeşehir et le ministère des Affaires étrangères du Royaume-Uni, donnait les résultats suivants :
- 75% des personnes interrogées en Turquie disent ne pas vouloir (“istemem”) d’un voisin qui ne croit pas en Dieu
- 72% ne veulent pas d’un voisin qui boit de l’alcool
- 67% ne veulent pas de voisins qui vivent ensemble sans être mariés
- 64% ne veulent pas d’un voisin juif
- 52% ne veulent pas d’un voisin chrétien
- 48% ne veulent pas d’un voisin d’extrême-droite ou d’extrême-gauche
- 43% ne veulent pas d’une famille américaine comme voisins
- 36% ne veulent pas d’une famille dont les filles portent des shorts comme voisins
- 26% ne veulent pas d’un voisin d’une autre race ou couleur
Il y a deux jours, une photo publiée dans le journal Milliyet, montrant le chaos dans lequel la ville d’Istanbul est plongée suite aux travaux de rénovation sur le pont FSM, a fait beaucoup parler d’elle. Cette photo a été prise mardi soir, à 18h20 devant le péage du pont FSM. Elle a été vue et partagée sur les réseaux sociaux, par un très grand nombre de personnes. Istanbul est une mégalopole où la circulation est très difficile en temps normal, mais accompagnée par la chaleur terrible de ces derniers jours, le trafic devient invraisemblable pour les conducteurs comme en témoigne cette photo
Pas besoin de légende, la photo parle d'elle-même ! (milliyet)
Et comme si cela ne suffisait pas, le ministre des Transports Binali Yıldırım a annoncé hier, que "l’année prochaine ce serait au tour du premier pont, le pont du Bosphore d’être à son tour rénové, et de manière totale puisque pendant une grande partie des travaux, il sera complètement fermé à la circulation". Il a également précisé au journal Akşam que "les travaux sur le pont du Bosphore dureraient encore plus longtemps que ceux actuellement en cours sur le pont FSM, car c’est un vieux pont (1973) dont les câbles de suspension doivent être complètement remplacés afin d'assurer la plus grande sécurité possible pour toutes les personnes qui emprunteront ce pont quotidiennement."
Selon Reuters, la Turquie devrait, d’ici 10 ans, prendre la place de la Grande-Bretagne, actuellement troisième plus gros consommateur d’électricité en Europe après l’Allemagne et la France. La Turquie a également la capacité de devenir une plaque tournante pour le commerce de l’énergie. En plus de sa position stratégique entre les pays possédant des ressources énergétiques et le gros marché de consommation que représente l’Europe, la Turquie peut compter sur l’essor de sa population et de son économie pour se faire une place sur ce marché. La libéralisation du marché de l’énergie, voulue par le gouvernement, rend la Turquie attractive et permet d’attirer de plus en plus d’investisseurs étrangers.
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Le... contenu : Participer à l'organisation des rencontres d'Affaire Turquie Monde qui auront lieu à Paris - appel et suivi de sociétés, réponse aux demandes d'informations des entreprises.
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[avec AFP] - Le gouvernement a lancé une campagne anti-obésité pour faire maigrir les Turcs de plus en plus nombreux à être traités pour des maladies découlant de surpoids, devenu un véritable fléau de santé publique.
Le constat est dramatique : Un Turc sur trois est obèse, une prévalence supérieure chez les femmes que les hommes, selon un rapport du ministère de la Santé.
"35% de la population (turque) est obèse", a déclaré fin juin le ministre de la Santé, Recep Akdag, tirant la sonnette d’alarme au sujet de ce problème de santé publique.
La campagne publicitaire lancée par son ministère vise à faire maigrir un million de Turcs en l’espace d’un an.
"Le mouvement de lutte contre l’obésité commence", proclament des spots publicitaires sur les chaînes de télévision et les journaux, appelant les Turcs a réduire leur masse corporelle et diminuer les portions.
Des pédomètres sont distribués durant l’été par des médecins de famille qui assureront un suivi de leurs patients en surpoids. Le pain, a été allégé à partir du 1er juillet en sel et est devenu plus riche en farine complète et donc en fibres, une révolution pour des millions de Turcs qui se nourrissent en grande partie de cet aliment traditionnel.
Pour prévenir l’obésité infantile, les chaînes de télévision turque ne diffuseront plus que des publicités vantant des aliments sains et feront la promotion de menus équilibrés.
Le ministre a lui-même donné l’exemple en perdant 10 kg en un an, conseillant aux Turcs de faire 10.000 pas par jour pour rester en forme. 10.000 pas par jour pour rester en forme
Il est établi que les Turcs souffrent d’un fléau planétaire : Urbanisation rapide et changement des modes de vie et de travail dans un pays qui revendique la 17e place économique du monde. Reconnue comme un maladie par l’Organisation mondiale de la santé depuis 1997, l’obésité en entraîne d’autres, comme l’hypertension et le diabète. Des pathologies qui peuvent représenter un risque vital à terme.
Selon une étude effectuée récemment par l’Association de lutte contre l’obésité, les Turcs ne bougent pas assez. Dans les villes, ils sont très peu nombreux a pratiquer une activité sportive régulière, restant des heures durant devant un ordinateur ou la télévision.
Le professeur Murat Tuncer, médecin pédiatre spécialiste en maladies du sang, explique que la vie moderne rend difficile de garder la ligne : "La vie moderne nous impose des contraintes qui font que l’on mange plus rapidement et en plus grosse quantité sans faire attention à la qualité de l’aliment que nous consommons".
Il rappelle pourtant que la Turquie est un pays méditerranéen et propice à une alimentation saine comprenant davantage de légumes et de fruits ainsi que de poisson.
Son collègue, Yunus Yavuz, spécialiste en maladies du métabolisme, indique que le nombre de patients traités pour le diabète en Turquie a augmenté à une vitesse fulgurante de 90% ces 12 dernières années et ce principalement en raison de l’obésité.
"L’obésité est une maladie qui peut être prévenue. Il vous suffit de maigrir pour allonger votre espérance et votre qualité de vie", dit-il.
Nous l'avions annoncée cette traversée du bosphore, voici le compte-rendu de la course:
édité par le blog vivre à istanbul:
Et oui ! Chaque année est organisée la traversée du Bosphore à la nage, et il y a des gens assez dingues pour le faire ! Voici un événement sportif à ne pas manquer !
Pour ne pas manquer le spectacle, tenez-vous prêt le long du Bosphore pour encourager les nageurs. Le départ de la course est prévu pour 10h de Kanlica et l’arrivée est au Parc de Kuruçesme. En tout, 6.5 kilomètres !
Mais il y a aussi une course de canoé et d’avirons, et des démonstrations de voile et de jet-ski.
Hier, comme tous les 11 juillet depuis 1989, était célébrée la journée mondiale de la population. L’occasion de se pencher sur les questions de démographie autour du monde et sur les évolutions qui nous attendent. Concernant la Turquie, l’institut de statistiques turc TÜIK a révélé que d’ici 2050 la population nationale atteindrait les 94.6 millions. La population turque est actuellement de 74 millions. Ces estimations sont basées sur des données démographiques ainsi que sur les informations données par la médecine de la reproduction. Quant à la population mondiale, elle devrait atteindre les 9 milliards en 2050. La barre des 7 milliards a été franchie au mois d’octobre dernier.
La petite dernière du paysage audiovisuel turc s’appelle “İho Tis Polis”. “Écho de la ville”, en français, est surtout la première radio en langue grecque de Turquie. Elle s’adresse en priorité à la communauté “Rum” d’Istanbul, qui s’est réduite comme peau de chagrin au fil du 20ème siècle. Pour ses fondateurs, qui revendiquent 5.000 auditeurs à travers le monde, c’est déjà un succès
Une petite pièce dans un grand et vieil immeuble à moitié vide au cœur de Beyoğlu, l’ancien quartier des minorités et des Européens de l’Empire ottoman. Andrea Rombopulos, en chemise et pantalon blancs, présente l’un des sept bulletins d’information de la journée dans un studio rudimentaire, composé d’un micro, d’un ordinateur, d’une chaise et d’un bureau en bois.
Dans la pièce voisine, les bureaux du journal İho, l’un des deux quotidiens en langue grecque d’Istanbul, qu’Andrea Rombopulos dirige également. Le Stambouliote rêvait depuis longtemps de fonder une radio mais les fréquences coûtent cher et le journal İho vend peu, 400 exemplaires par jour.
“İho Tis Polis” diffuse donc uniquement sur internet. Elle s’adresse en priorité aux Rums d’Istanbul, des hellénophones orthodoxes installés dans la ville depuis des milliers d’années.
Dix fois le succès espéré
Forte de plus de 150.000 âmes au début du 20ème siècle, la communauté grecque a déserté Istanbul et le pays au fil d’échanges de population, d’impôts sur les minorités, de pogroms et enfin de tensions entre Grèce et Turquie en mer Egée et à Chypre. Il resterait dans la mégapole de 15 millions d’habitants pas plus de 2.500 Rums. Et pourtant, en à peine trois mois d’antenne, İho Tis Polis compte 3.000 à 5.000 auditeurs quotidiens dans 70 pays.
“On nous écoute beaucoup en Grèce, en Allemagne, en France, au Canada et aux Etats-Unis. Des auditeurs nous écrivent pour parler de leur grand-père né à Istanbul et de sa maison qu’ils aimeraient retrouver un jour. On ne s’attendait pas du tout à un tel succès”,s’étonne encore Andrea Rombopulos. Le journalisteespérait 200 à 300 auditeurs, “500 en étant optimiste”. “Cela veut dire qu’on a eu raison de créer cette radio qui tisse un lien entre des Grecs du monde entier”, sourit-il avant d’ajouter, l’air grave : “Nous ne sommes que trois bénévoles et le succès crée une lourde responsabilité.”
Priorité à la musique
İho Tis Polis diffuse 24h/24 et la musique occupe plus de 95% du temps d’antenne. Tous types de musiques grecques, de la plus traditionnelle à la plus contemporaine. Pour Andrea Rombopulos, c’est un parti pris, pas un moyen d’occuper l’antenne avec des effectifs réduits. Les morceaux sont renouvelés chaque jour et diffusés par genre à des horaires précis. La tranche de rebetiko est la plus appréciée, chaque soir à 20h10.
“C’est une musique très aimée en Turquie. Je peux même dire qu’on entend plus de rebetiko à la radio en Turquie qu’en Grèce”, soutientAndrea Rombopulos.Ces longues tranches musicales permettent à İho Tis Polis d’attirer des auditeurs turcs non hellénophones. “Certains nous envoient même des messages d’encouragement. Ça aussi, c’est inattendu !” s’enthousiasme Andrea, “car peut-être que si nous avions lancé ce projet il y a 15 ans, nous aurions reçu des messages haineux. Là, nous n’en avons pas reçu un seul. Certaines choses changent en Turquie.”
Quelques ondes d’espoir
Ces derniers mois, la Turquie a fait quelques gestes envers ses minorités non-musulmanes. Les fondations communautaires peuvent désormais récupérer leurs biens confisqués au cours du 20ème siècle. Des centaines d'immeubles, de cimetières, d'écoles, d'hôpitaux, de fontaines... figurent sur la liste des spoliations. En février, le patriarche œcuménique grec orthodoxe, Bartholomée Ier, était reçu par la commission chargée de la réforme de la Constitution au Parlement. Le séminaire de Halki sur l'île de Heybeliada, fermé par l'Etat en 1971, pourrait rouvrir prochainement. Dans le même temps, la maison d’édition grecque Istos a repris ses activités fin mai à Istanbul, après 50 ans d’arrêt.
“La Turquie a commencé à prendre conscience de la valeur de la mosaïque culturelle qu’elle a essayé de détruire pendant des décennies", commente Andrea Rombopulos. "Mais il faut encore que les mentalités changent, notamment dans la bureaucratie, donc cela prendra du temps. Mais je suis plein d’espoir”, annonce-t-il.
Optimiste, Andrea Rombopulos l’est aussi pour sa petite radio. Il voudrait dès la rentrée confier les rênes d’un programme aux élèves des lycées grecs d’Istanbul. Car ces jeunes sont l’avenir de la communauté, de sa culture et de sa langue.
Istanbul est une des plus belles villes au monde avec un patrimoine culturel mondial exceptionnel. Qui n’a jamais entendu parler de la basilique Sainte Sophie ou de la mosquée bleue ? Ces visites sont des passages obligés lorsqu’on visite la Turquie et sa capitale. D’ailleurs, pour séjourner sur place, Wimdu dispose d’une large offre, notamment à Istanbul.
La Turquie toutefois réserve bien plus de surprises que ça. En voici quelques-unes :
Tout d’abord, le Cappadoce est une des régions les plus réputées d’Asie Mineure car cette région volcanique possède des paysages à couper le souffle, avec des vallées grandioses et des flancs de montagnes magnifiques en forme conique. Avec le lac Tuz qui est la plus grande réserve naturelle de flamands rose ou encore la vallée d’amour, cette région ne manque pas de charme. La région abrite aussi des habitations troglodytes et des cités souterraines incroyables. Le petit plus est la possibilité de visiter la région à cheval ce qui rend la visite encore plus magique.
Plus au nord se trouve la ville de Trabzon au bord de la Mer Noire. Cette ancienne capitale de l’Empire de Trébizonde, est aujourd’hui devenue une métropole régionale turque pleine d’Histoire. Ce qui rend la ville si spéciale n’est pas le fait qu’elle faisait partie de la Route de la soie mais son pèlerinage. En effet, il est possible de se rendre à pied au monastère de Sumela qui se trouve à flanc de colline et qui possède une histoire riche de plus de 1600 ans ! Ce monastère est un passage impressionnant et unique.
La dernière étape de notre voyage sera plus un week-end sur la côte sud de la Turquie, près de la ville de Faralya, dans la vallée des papillons. Elle porte son nom de ses innombrables insectes volants, présents de juin à septembre. Si vous venez en dehors cette saison, la randonnée vaut quand même le détour avec des points de vues somptueux, une plage de galets et une cascade superbe. Bref immanquable !
Dans une tribune parue la semaine dernière dans Le Monde, plusieurs universitaires et intellectuels s’inquiètent de la situation des libertés en Turquie. Le texte, intitulé "Le grand enfermement des libertés en Turquie", met en lumière l’envers du décor de la stabilité politique et de la croissance économique du pays : "un pouvoir hégémonique [qui] exerce une répression judiciaire toujours accrue sur les universitaires, chercheurs, éditeurs, étudiants et journalistes". Les signataires s’inquiètent des vagues d’arrestations et des maintiens en détention provisoire sur la base d’accusations infondées. Ces accusations, qualifiées de " kafkaïennes ", se basent sur la loi anti-terrorisme modifiée en 2006, qui élargit considérablement la définition du terrorisme. "La voie de la liberté est de plus en plus étroite en Turquie. L'Europe doit en prendre conscience de toute urgence" conclut le texte, qui estime que les milieux diplomatiques et les médias louent la Turquie comme un modèle économique et de stabilité politique mais ferment les yeux sur la violation des libertés.
La chambre de Commerce d’Istanbul – 5è Chambre de Commerce au Monde en
importance organise la participation nationale turque au SIAL 2012 – Salon
International de l’Agro-alimentaire. Plus de 200 sociétés turques parmi les plus
importantes seront présentes du 21 au 25 octobre 2012 à Paris.
Salon
International de l’Agro-alimentaire, le Salon n°1 Mondial de l'Alimentation: 136
381 visiteurs professionnels de l'agroalimentaire du SIAL 2010 sont venus à la
rencontre des 5 838 exposants français et internationaux.
Les exposants
: industriels de l’agroalimentaire •5 838 exposants, fournisseurs de
l'industrie agroalimentaire •80% d’internationaux •106 pays représentés
•19 secteurs d'exposition •78% des exposants sont satisfaits de leur
participation au SIAL •158 contacts générés par stand en moyenne
Les
visiteurs : professionnels de la distribution et du commerce, de l’industrie
agroalimentaire et de la restauration •136 381 visiteurs •62%
d’internationaux •200 pays représentés •88% des visiteurs sont
satisfaits de leur visite sur le salon •91% des visiteurs sont satisfaits de
la qualité des exposants et 92% de la quantité des exposants •70% des
visiteurs recherchent des nouveaux produits ou des nouveaux fournisseurs
Une couverture médiatique internationale •1 500 journalistes venus
de 42 pays •plus de 2 000 retombées presse en France et à l'international
Dans ce cadre la CCI Istanbul en partenariat avec
- La Chambre
Internationale pour le Conseil et la Promotion (CICP) , http://www.cicp.biz
et
organisent
les ‘RENCONTRES AGRO-ALIMENTAIRES TURQUIE-AFRIQUE -MONDE’ qui seront l’occasion
de rencontrer les sociétés turques dans un cadre dédié.
Ces rencontres
qui ont lieu sur cinq jours auront notamment pour theme :
RENCONTRES
AGRO ALIMENTAIRES TURQUIE/FRANCE – TURQUIE/AFRIQUE – TURQUIE/EUROPE et SECTEUR
DU HALAL
La Turquie , 16è économie mondiale a un secteur
agro-alimentaire dynamique qui présente de nombreuses opportunités.
La
société GR EVENTS en charge de l’organisation de ces rencontres d’affaires est
un spécialiste reconnu des marchés français et turcs.
Nous vous prions
par la présente de bien vouloir diffuser l’information auprès de vos membres et
de votre réseau . Cette organisation revêt une importance toute particulière
dans le cadre des 130 ans de la CCI Istanbul. Si vous etes interessé, nous vous
enverrons le formulaire d’inscription pour les rencontres d’affaires qui sont
entierèment gratuites .
Dans cette attente nous vous prions d’agréer
Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
M Freddy
Dominique ZANGA
Partenaire AFRIQUE des Rencontres B to B TURQUIE/
AFRIQUE
IEPC, société de prestation de service suisse spécialisée dans le domaine de l’énergie, recherche pour l’un de ses clients un ingénieur de mise en service ICS (Integrated Control System) pour diverses missions (Contrat de droit français)
Compétences techniques requises :
- logique et régulation de centrale d’énergie à cycle combiné
- système de communication (Profibus, FIP, …)
- instrumentation diverse sur centrale de production d’énergie
Expérience minimale de 2 ans dans un poste similaire
Langues : Anglais, français et turc impératif.
Niveau d’étude : Ingénieur ou technicien avec expérience
Salaire : A définir selon profils. Entre 60 et 120 K€
Merci de bien vouloir envoyer vos candidatures par email : er@iepc.ch
INFO RADIO MELODIE : Disparition d'un jeune de 17 ans à Sarreguemines. Emré Murat. Il mesure 1m69, de corpulence fine. Son père est inquiet, depuis samedi 07 j...
Yasin Hayal, l’un des instigateurs de l’assassinat du journaliste Hrant Dink en 2007, a déclaré que la cible suivante était l’écrivain et prix Nobel de littérature Orhan Pamuk. L'information a récemment été révélée par le quotidien Taraf. Lors de son procès en 2007, Yasin Hayal avait conseillé à Orhan Pamuk d’ "être prudent". Cinq ans plus tard, il donne plus de précisions sur cette menace. L'informateur de la police Erhan Tuncel, arrêté au moment de l’assassinat de Hrant Dink puis relâché, lui aurait dit à l’époque : "Hrant Dink et Orhan Pamuk sont dangereux pour la nation. Ils doivent être tués. Mais Dink en priorité." C’est cette remarque qui aurait poussé Yasin Hayal à menacer l’écrivain turc. Une menace qu’il met sur le compte de la jeunesse et de l’ignorance et qu’il dit regretter aujourd’hui. Il a par ailleurs déclaré ques’il sortait de prison un jour, il irait rendre visite à Orhan Pamuk pour s'excuser et lui embrasser la main.
Ville Cosmopolite, Strasbourg est riche de toutes les nationalités qui la composent Conducteur de tram, médecin, jardinier, les résidents étrangers participent activement à la vitalité de notre ville. Photos: Michel Duffour. Textes: Guy Didier. 14 hommes et 12 femmes. Une mosaïque de métiers, de passions, de parcours... Venez découvrir cette exposition photos de "La Ville en Visages" pendant tout le mois de juillet, du mardi au samedi de 14h00 à 19h00
Salle Conrath / Hôtel de Ville Entrée par le 9 rue Brûlee
A lire: l'article de Guy DIDIER sur la page facebook de "entre gens" le 28 mai 2012 intitulé "en vies":
Supplément en cahier central dans le numéro de juillet. Egalement disponible en ligne pour nos abonnés.
SUPPLEMENT SPECIAL.
Photos : ABBAS Textes : Bruno Frappat
Pierres vivantes, pierres qui pleurent, « pierres de rêve », contenant au tréfonds de leur compacité des esprits, des morts et des dieux. Seraient-elles plus sûres que les végétaux aux yeux des religions et de leurs fidèles, pour affirmer la présence du divin ? Ou que les animaux ? Les arbres croissent et meurent. Les animaux passent. Les pierres, figées pour l’éternité, sont la part stable de notre univers familier.
Elles se souviennent de tout. Elles prennent mille et une formes pour nous dire les merveilles du passé, la beauté de la permanence. Leur solidité en fait les alliées rassurantes de notre fugacité. D’où les liens complexes qu’elles tissent, dans notre imaginaire, entre le ciel et les hommes.
Elles servent à tout. Pierres lancées des révoltes (intifada, « révolte des pierres »). Pierres jetées des supplices dont la femme peut être la victime, quand domine le mâle infâme (lapidations). Pavés lancés contre les polices du monde, quand les révoltes grondent avec rage et impuissance.
Mais ponts de pierre, pour relier. Pierres des cathédrales, à l’assaut du ciel. Pierres des pyramides, défiant l’usure des vents sableux. Pierres des temples, mégalithes des civilisations éteintes. Pierres tombales recouvrant les morts et absorbant nos larmes.
Pierres d’achoppement, pierres de taille, pierres d’angle, blocs énormes ou cailloux presque sable, pierres à construire ou détruire quand roulent les torrents, les tornades, les tourments de la planète.
Coeurs de pierre ? Mais les pierres ont un coeur ! Les religions, depuis les temps géologiques, nous ont soufflé l’idée que les pierres ne sont pas là par hasard. Elles entretiennent avec la vie de l’esprit des rapports animés, tout sauf inertes. Quelle vie, dans ces blocs ! Quelle autorité ! Quelle présence !
Abbas, le grand photographe iranien, qui vit à Paris, a consacré nombre de reportages et d’ouvrages aux religions du monde. Nous publions quinze de ses photos où la pierre joue le premier rôle entre l’homme et le divin. Comme un réceptacle immuable, lesté de nos espérances et nos consolations. Pierres emplies de vie !
En ligne: le magazine PLATEFORME LIFE sur : plateformelife.fr
et plus particuièrement:
Nora Şeniquitte l’Institut français d'études anatoliennes (IFEA), qu’elle dirigeait depuis 2008. Un nouveau défi l’attend à l’Université Paris 8, où elle prend la responsabilité d’un double pôle “Méditerranée et ville”. Un cocktail en son honneur s’est tenu le 5 juillet dans le jardin de l’institut, en présence du Consul général de France à Istanbul
L’heure du départ est toujours celle du “bilan”, de la “rétrospective”, et Nora Şeni s’y est pliée de bonne grâce devant ses invités. Mais elle formule aussi, avec le même sourire, une conclusion plus personnelle de ses quatre années à l’IFEA. “C’est une nouvelle personnalité que j’ai extirpée de moi”, décrit-elle. “Jusqu’alors, je m’étais arrangée pour ne jamais m’occuper de choses administratives pour pouvoir faire ma recherche et écrire mes livres. D’un coup, je suis devenue décideur. Ce côté-là m’a enchantée, m’a apporté beaucoup de satisfaction et de bonheur.”
Nora Şeni s’est donc évertuée à remercier un à un les membres de son équipe, tous les employés de l’IFEA et ses partenaires, comme l’organisme public de recherche Tübitak. “Il faut prendre au sérieux ces petits instituts. Ils sont des mécanismes de paix dans l’espace international, alors que les relations politiques entre Etats peuvent connaître des hauts et des bas”, a-t-elle souligné, en écho au discours du Consul général de France, Hervé Magro.
Ce dernier venait en effet de la saluer en ces termes : “C’est dans les moments difficiles qu’on voit toute l’importance du travail que vous avez fait parce que même dans ces moments-là, nous avons pu assister ici à des conférences, avec des interlocuteurs turcs qui sont venus parce qu’ils savent le prix de l’IFEA et de la recherche.”
Travailler “avec” la Turquie
Le Consul général a longuement remercié Nora Şeni. “Vous avez réussi – à la suite d’un certain nombre de vos prédécesseurs mais en accélérant le processus – à replacer l’institut au centre de la relation avec nos amis turcs”, a-t-il indiqué. “Je le dis d’autant plus que je me souviens d’une époque où l’on ne savait même pas si l’IFEA était un service français et ce qu’il faisait.”
L’intéressée confirme ce “recentrage” au Petitjournal.com d’Istanbul : “Les chercheurs ne peuvent plus venir ici, faire ce qu’ils faisaient à Paris et repartir comme ils sont venus pour publier en France. C’est terminé. S’ils font un colloque, ils le font avec les gens d’ici. S’ils font des livres, ils les font avec des gens d’ici.” Nora Şeni tient à ce que l’IFEA travaille “avec” la Turquie, ses chercheurs et ses universitaires, plutôt que “sur” la Turquie.
Ilber Ortayli, ancien président du musée du Palais de Topkapi, à droite sur la photo (AA) Dans son discours, la directrice sur le départ a énuméré les principales actions de son mandat : l’augmentation du nombre de publications, notamment celles du pôle archéologie dirigé par Olivier Henry ; le passage à la publication électronique ; les blogs existants (Ovipot, OUI) et à venir ; les bourses de courte durée pour des élèves en doctorat des universités turques ; les séminaires (quatre par semaine en moyenne d’octobre à mai) ; les chercheurs invités d’Europe et des Etats-Unis ; le développement des partenariats avec des universités et musées…
Hadi Uluengin, chroniqueur du journal Taraf et le Consul de France Hervé Magro (photo AA) “Je vis dans un continuum Paristanbul”
“Dans cette bataille qui n’en est pas une – car il faut arrêter de penser qu’un jour le français va supplanter l’anglais – il faut montrer tout ce que nous savons faire. Aujourd’hui, cela passe beaucoup par internet. J’espère que l’IFEA va continuer sur ce terrain-là”, a exhorté le Consul général.
Nora Şeni retourne à l’Université Paris 8, où elle est professeure. Elle y prend la responsabilité d’un double pôle “Méditerranée et ville” mais assure qu’elle reviendra régulièrement à Istanbul. “Je vis dans un continuum Paristanbul”, lance-t-elle. Le nom de son successeur à la tête de l’IFEA n’a pas encore été officiellement annoncé.