LES DEUX CONCERTS DE ASIK A PARIS
Les deux concerts donnés le 21 janvier par le groupe de musiciens du KAYSERI ASIK MEYDANI KÜLTÜR VE SANAT VAKFI ont été un vrai succès. Nous avons découvert des musiciens très expérimentés et pour certains hors pair, d'une inspiration réelle et nous avons passé deux très bons moments. Les photos et vidéos dans quelques jours sur ce site, en attendant, voici la photo du groupe lors de la cérémonie d'ouverture de la partie française du festival publiée sur le site internet des nouvelles des Turcs de France:
www.hodrimaydan.net.
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CONCERTS DE ASIK A PARIS LE 21 JANVIER 2012
Les membres de l'association KAYSERI ASIK MEYDANI KÜLTUR VE SANAT VAKFI de Kayseri (Turquie) seront à PARIS pour deux concerts exceptionnels le samedi 21 janvier 2012:
- à 15 h au Centre Culturel anatolie- 77, rue La Fayette 75009 PARIS
- à 20h30 à la péniche ANAKO qui est amarée face au 61, Quai de Seine 75019 PARIS
ces deux concerts SONT GRATUITS car ils ont lieu dans le cadre d'un festival soutenu par l'Union Européenne mais le nombre de places est limité dans chaque lieu il faut donc absolument réserver pour avoir une place au 06.21.58.00.02 ou par mail à folkmusicbridges@gmail.com
Pour ceux qui ne connaissent pas le Asik, il s'agit d'un genre musical très spécifique de l'Est et du Sud-est de la Turquie dans lequel le joueur, un barde comme nous en avions en Europe au Moyen-Age joue d'un instrument à corde à long manche appelé Baglama en déclamant ou chantonnant une poésie dont le thème est soit mystique soit l'amour contrarié (car il est bien connu que l'amour heureux n'a pas d'histoire !)
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RAPPEL: exposition de Mehmet ILBAYSÖZÜ et Miep SYBESM de BAY: vernissage le 1er décembre à 19 h
exposition des photos faites au Tekke de Konya et des céramiques d'art visible du 29 novembre au 17 décembre inclus.
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Zaman France vous invite à une conférence-débat sur le thème
La religion : Trop compliquée pour les médias ?
Rapidité de l’information, enjeux commerciaux, inculture religieuse : le problème des médias
avec la religion vient-il d’une hostilité, d’une incompréhension ou d’une inévitable simplification ?
Avec
Laurent Grzybowski, journaliste à La Vie chargé des questions sociales
Bernadette Sauvaget, présidente de l’Association des journalistes d’information religieuse
Thomas Deltombe, journaliste et essayiste, auteur de L’islam imaginaire
Modérateur : Selami Varlik, rédacteur en chef adjoint de Zaman France
Le vendredi 2 décembre 2011, à 19h00,
Au siège du journal : 72 rue Victor Hugo 93500 Pantin (Métro : Eglise de Pantin).
La conférence sera suivie d’un cocktail
Le nombre de place étant limité, veuillez confirmer votre présence par mail :
n.theodet@zamanfrance.fr
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UN CERTAIN MOIS D'AVRIL A ADANA
Daniel ARSAND
Ed Flammarion/371p/20 €
C'est l'histoire d'un génocide redouté, annoncé et arrivé. Celui, dès avril 1909, des Arméniens d'Adana, ville industrieuse de Cilicie, dans le Sud de la Turquie. Qui croirait qu'un écrivain d'aujourd'hui sache encore faire envoûtant poème épique de pareil massacre, y retrouve les secrets de l'antique Grec Homère dans l'Iliade ou du Latin Virgile dans l'Enéide?.
Daniel ARSAND a cette grâce, dans un récit tout ensemble délicat et furieux, intimiste et lyrique, qui conte comment du 5 au 27 avril 1909, 30.000 Arméniens seront éliminés par de Jeunes-Turcs furieux.
L'écrivain nous fait pénétrer dans les foyers réinventés de quelques-uns d'entre eux, chrétiens et musulmans mélés. Orfèvre, poète, prostituée, dirigeant, mendiant: ARSAND recrée leurs maisonnées avec une tendresse mélancolique. Les deux communautés se savent condamnées au combat et semblent attendre de s'entre-tuer pour accomplir leur destin. De page en page, la tension monte. Hommes et femmes s'apprêtent au désastre avec des sentiments bizarres. Daniel ARSAND rend toute sa complexité à l'épouvantable guerre fraticide. Au milieu d'un récit choral, éclaté, son héros n'est-il pas un traitre ? de mangifniques figures -héroïques ou lâches- se confrontent dans la fresque noire découpée en chapitres aussi tranchants que l'Histoire, la Mort, le Temps.... très peu d'Arméniens réchapperont de ces premiers massacres et ils ne s'en remettront jamais. Après avoir détaillé l'horreur -sans voyeurisme-, ARSAND montre des exilés solitaires ou sans désirs. Des vivants n'aspirant qu'à rejoindre leurs morts omniprésents autour d'eux...
Fabiene PASCAUD pour TELERAM N° 3226
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LES COURS DE TURC A PARIS
Si la culture et la langue turques vous attirent et si vous vous sentez frustré seul face à l'épicier au beau milieu de l'Anatolie lorsqu'il vous présente une bouteille de lait alors que vous pestez des "zut" retentissants, une seule solution: apprendre le Turc et une seule adresse: l'association DE LA SEINE AU BOSPHORE;
L'équipe pédagogique exerce depuis plus de 15 ans avec un succès constant. Retrouvez-les sur seinobosphore.blogspot.com.
Parution du tome 2 de leur méthode d'apprentissage de la langue turque:prix:32,00 €
