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mardi 17 décembre 2013

La Turquie, 4e plus grand donateur au monde

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La Turquie s'est montrée généreuse en 2011 et 2012. L'Agence de coordination de la diplomatie publique a en effet annoncé le 10 décembre que le pays prenait la 4e position du classement mondial en termes de montant de l'aide internationale fournie en 2011 et 2012.


mercredi 25 septembre 2013

Abdullah GÜL à New York

Emploi du temps chargé du président Gül à New York

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Le président Abdullah Gül poursuit ses entretiens à New York où il se trouve dans le cadre du conseil général de l’ONU.
Après ses entretiens avec le président du Gabon Ali Bongo Ondimba et le Premier ministre de l’Albanie Edi Rama, M. Gül a assisté au déjeuner offert par le secrétaire général de l’ONU Ban Ki Moon où il a discuté avec le président américain Barack Obama.
Le président français François Hollande figurait également dans la liste des personnalités avec qui M. Gül s’est entretenu.
Lors de la réunion des deux présidents, le processus d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne ainsi que les développements en Syrie ont été abordés.
François Hollande a soutenu la poursuite du processus d’adhésion avec l’ouverture un à un des chapitres.
M. Gül, pour sa part, a attiré l’attention sur le fait que l’adhésion à l’UE était l’objectif stratégique de la Turquie et a exprimé l’importance accordée par la Turquie à l’ouverture de nouveaux chapitres.
Les deux chefs d’Etat ont également souligné que l’accord prévoyant le démantèlement des armes chimiques en Syrie devait prendre la forme d’une résolution avec possibilité de sanctions du conseil de sécurité de l’ONU.
Au terme de cet entretien, le président turc a participé à la session “Dialogue des leaders: de la vision à l’action”.
Dernièrement, le président Gül a rencontré l’Emir qatarien Tamim Ben Hamad Al Tani, l’ancienne secrétaire d’Etat américaine Madelaine Albright et les autorités de la fondation Gates.
M. Gül a clôturé la journée avec une réception offerte en raison de la candidature non permanente de la Turquie au conseil de sécurité de l’ONU pour la période 2015-2016.

jeudi 6 décembre 2012

La fondation TEMA reçoit le prix onusien « Land for Life »


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La fondation TEMA s’est vue décernée le prix de « Land for Life » remis pour la première fois par le secrétariat de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification des terres.
La Fondation turque pour la lutte contre l'érosion des sols de la Turquie (TEMA) a remporté une reconnaissance internationale et une subvention financière d’un montant de 100 000 dollars lors d'une soirée de gala qui s'est tenue à Doha, au Qatar, le 3 Décembre.
La fondation TEMA a remporté le « Land for Life Award » qui a attiré plus de 100 candidats, et a été reconnu pour son travail innovant, inspirant et transformateur permettant d’améliorer la santé naturelle des sols et restaurer sa productivité. Ce prix est décerné pour la première fois par le secrétariat de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification des terres.
« Depuis vingt ans, nous travaillons pour protéger et préserver la santé et le bien-être de nos sols pour les générations présentes et futures », a déclaré M. Serdar Sarigül, directeur général de TEMA lors de la remise du prix. « Car sans le sol il n’y a pas la vie, sans les êtres naturels, il n’y a pas la vie », a-t-il conclu.
Date de l'information : 05 Décembre 2012 00:47  TRT

lundi 3 décembre 2012

ISTANBUL: L’ONU À L’ÉCOLE - Le lycée Saint-Joseph accueille des diplomates en herbe


Du 30 novembre au 2 décembre, le Modèle francophone international des Nations Unies en Eurasie (MFINUE) a rassemblé 275 lycéens francophones de Turquie, des Pays-Bas, de Pologne ou encore du Koweït. Simulant une conférence de l'ONU, les élèves ont mutualisé leurs idées pour trouver, en français, des solutions aux grands problèmes de ce monde.
Quand Saint-Joseph se transforme en siège de l'ONU... (photo MA)
Costumes, robes de gala et petits fours : autant dire que les lycéens se sont pris au jeu. À l'avant de la scène, la présidente de l'Assemblée générale, Billur Bektaş, mène la cérémonie d'ouverture d'une main de maître tandis que Can Tabak, secrétaire général, égrène le programme des trois jours à venir. Ces lycéens de 15 à 18 ans prennent tour à tour la parole sur le podium, devant une salle comble d'environ 300 personnes. Parmi eux, des Polonais, des Néerlandais, des Koweïtiens et de nombreux Français.
Résoudre le conflit syrien, entre lycéens
Ce MFINUE est la troisième édition du genre au sein du lycée Saint-Joseph de Kadıköy. Objectif : imiter une conférence des Nations Unies. Chaque élève, appelé "délégué", doit représenter un pays et défendre sa position durant tous les débats. Les différents comités existants à l'ONU sont recrées dans chacune des salles de classe du lycée Saint-Joseph. Le Conseil de sécurité doit par exemple trouver des solutions au conflit en Syrie ou à la situation au Timor oriental, alors que le Conseil économique et social a en charge la crise de l'euro et la stabilisation de l'économie dans les pays du Printemps arabe.
Des sujets variés et difficiles, qui demandent un travail conséquent de la part des élèves. "La position du pays qu'ils représentent peut être différente de leurs opinions personnelles, c'est toute la difficulté de l'exercice”, explique Jean-Michel Ducrot, professeur au lycée Sainte-Pulchérie et co-directeur de la conférence. “Ils se préparent plusieurs mois à l'avance, en faisant des recherches pour connaître les aspects et positions géopolitiques du pays dont ils ont la charge", affirme Marie-Lise Gouit, professeure de français au lycée Tevfik Fikret d'Ankara. Pour les besoins du MFINUE, elle s'est improvisée "conseillère des écoles" pour préparer au mieux les 14 élèves de son lycée participant à la conférence.
Assimiler le vocabulaire diplomatique
Outre les recherches à faire, les élèves doivent également potasser "le lexique propre à ce type d'exercice", note encore Marie-Lise Gouit. Pour participer à la conférence, il faut être capable de rédiger correctement une résolution ou un discours d'ambassadeur, et ce dans les formes : ne pas oublier de demander que "le délégué de l'Afghanistan requiert la parole" avant de s'exprimer, par exemple. Pas forcément naturel pour un lycéen, d'autant plus s'il n'est pas parfaitement francophone.
L'aspect linguistique est l'un des objectifs du MFINUE, qui souhaite mettre le français à l'honneur dans un monde globalisé où l'anglais est privilégié. Des lycéens d'Izmir, Ankara, Istanbul mais aussi de Grenoble, La Haye, Koweït ou Varsovie tentent donc, en français, de trouver des solutions à ces problèmes internationaux. Après la conférence, les élèves sont hébergés dans des familles d'Istanbul. "La rencontre interculturelle" est l'un des enjeux de cette conférence lycéenne, observe Jean-Michel Ducrot. Avant de devenir, qui sait, un diplomate chevronné d’ici quelques années...
Can Tabak, secrétaire général et responsable de l'édition 2012 du MFINUE (photo MA)
"Il faut pouvoir s'adapter aux exigences : assimiler le langage diplomatique, 
connaître les relations géopolitiques entre les pays. 
Ce sont surtout les bons élèves qui participent et dans ce genre de conférence, 
on voit ceux qui deviendront sans doute réellement diplomates. 
Le principal avantage de cet exercice est de nous préparer à nos futures études 
et à notre futur métier. 
Nous avons déjà de l'expérience en relations internationales o
u en gestion de l'entreprise grâce à cela. 
J'aime beaucoup accueillir les lycéens des autres pays, 
de chouettes amitiés se créent."
Marlène Alibert (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) lundi 3 décembre 201