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mardi 22 novembre 2016

Egypte: découverte d'une momie intacte près de Louxor

"La très belle momie, recouverte d'un cartonnage (couches de lin tenues par du plâtre) est en très bon état"

 

 

Des archéologues espagnols ont découvert une momie pharaonique pluri-millénaires "en très bon état", dans une tombe près de Louxor, dans le sud de l'Egypte, a annoncé dimanche le ministère des Antiquités.


La découverte a été faite près du "temple des millions d'années" construit par un pharaon de la 18ème dynastie, Thoutmosis III (1479-1425 av. J.C) sur la rive ouest de Louxor, véritable musée à ciel ouvert à 700 kilomètres au sud du Caire.
"La très belle momie, recouverte d'un cartonnage (couches de lin tenues par du plâtre, ndlr) est en très bon état", selon un communiqué du ministère des Antiquités.
La momie a été retrouvée dans un sarcophage en bois aux couleurs vives, dans une tombe qui pourrait dater de la troisième période intermédiaire (1075 à 664 av.J.C.) et dont le propriétaire serait un homme de la noblesse, Amenrenef, portant le titre de "serviteur de la maison royale", d'après le texte.
Le cartonnage de la momie "présente de nombreuses décorations colorées qui reprennent des symboles religieux de l'Egypte antique, telles que les déesses Isis et Nephtys déployant leurs ailes, ou encore les quatre fils d'Horus", selon la chef de la mission archéologique, Myriam Seco Álvarez.
Louxor, ville du sud de l'Egypte qui compte 500.000 habitants, est célèbre pour ses temples pharaoniques sur les bords du Nil.AFP

 

mardi 3 décembre 2013

Une exposition dévoile l'archéologie antique

ISTANBUL - hürriyet daily news

Les artefacts archéologiques sélectionnés pour l'exposition ont été découverts à divers sites d'excavation en Turquie.
Les artefacts archéologiques sélectionnés pour l'exposition ont été découverts à divers sites d'excavation en Turquie.
Les artefacts archéologiques sélectionnés pour l'exposition ont été découverts à divers sites d'excavation en Turquie. qu'il artefacts archéologiques sélectionnés pour l'exposition ont été découverts à divers sites d'excavation en Turquie, encore soumis à un système de classification particulier, et réputés indignes d'exposition.

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http://www.hurriyetdailynews.com/exhibition-unveils-ancient-archaeology.aspx?pageID=238&nID=58806&NewsCatID=385

mardi 10 septembre 2013

Tombeaux rupestres datant de l'époque païenne déterrés dans la partie sud de la Turquie

Mardin - Doğan Nouvelles Agence

tombeaux rupestres du troisième et deuxième siècle avant JC ont été révélés dans la province du sud-est de Midyat le district de Mardin. Les tombes rupestres appartiennent à l'époque romaine et sont soupçonnés d'appartenir à une culture païenne qui a été centrée sur la zone

Les tombes de l'ère païenne ont été découverts au cours de travaux de construction qui ont été menés pour agrandir une rubrique à une ville de tentes érigé route pour les réfugiés syriens.
Les tombes de l'ère païenne ont été découverts au cours de travaux de construction qui ont été menés pour agrandir une rubrique à une ville de tentes érigé route pour les réfugiés syriens.
Construction dans la province du sud-est de Midyat le quartier de Mardin a déterré anciens tombeaux rupestres que l'on croit à ce jour de l'ère païenne entre les troisième et deuxième siècles avant J.-C.  Les tombes ont été découvertes lors des travaux de construction qui ont été menées pour agrandir une rubrique à une ville de tentes route érigé pour les réfugiés syriens.  Un total de quatre tombes rupestres ont été initialement découvert, mais les travaux d'excavation subséquente à Mor Eglise Ibrahim et d'autres lieux ont révélé 11 autres tombes, dont certaines avec des squelettes humains. Midyat District gouverneur Oğuzhan Bingöl a déclaré que les tombes avaient été découverts par hasard et qu'ils avaient commencé un nouveau projet d'information sous la direction du musée de Mardin. Mardin Musée directeur Nihat Erdoğan a déclaré un total de cinq archéologues et deux anthropologues travaillerait sur ​​les tombes. Il ya des squelettes, ainsi que des effets appartenant à la population et les cadeaux qui leur sont conférés à titre posthume enterrés indiquant qu'ils proviennent d'une culture païenne. La date de tombes de l'époque romaine, a déclaré M. Erdogan, ajoutant que les lieux de sépulture étaient en très bon état.  "Cette zone a été pris sous la protection et a déclaré une zone archéologique», at-il dit, notant que les tombes étaient très importantes en termes de jetant la lumière sur l'ère antique."Il ya beaucoup d'œuvres de la cinquième siècle [AD], mais pour le troisième et le deuxième siècle [BC], nous n'avons pas assez d'information." Les fouilles travaux qui se poursuivent dans la région sont censés montrer et révéler d'autres domaines dans lesquels la famille a été enterré dans l'Antiquité. «L'équipe [archéologiques] a été créée exclusivement pour les fouilles et actuellement ils travaillent sur ​​l'analyse de ce qu'ils ont trouvé", at-il dit. Jusqu'à présent, des bracelets, des bouteilles en forme de larme et colliers ont été trouvés. Les résultats seront ensuite analysés et envoyés dans un musée à afficher.  "Après avoir nettoyé ce sont, nous espérons ouvrir cette zone comme une zone touristique», a déclaré M. Erdogan, ajoutant que l'équipe devrait terminer les travaux dans les deux mois. Midyat, un site important pour la culture syriaque, a de nombreuses attractions comme la cathédrale Mor Sobo, qui a servi de centre pour les métropolites syriaques pendant neuf siècles, ainsi que l'église de la Vierge Marie, qui est situé à proximité d'un monument 2.000 ans .  Chacune de ces structures est une partie du patrimoine historique et culturel, a déclaré le gouverneur de district. 

mercredi 27 février 2013

PLACE TAKSİM – Les travaux interrompus par une découverte


Les travaux de construction d’un tunnel sous la place Taksim ont été partiellement interrompus suite à la découverte de vestiges sous l’avenue Cumhuriyet, rapporte le quotidien Radikal. Sur une photo publiée par le journal, on distingue nettement un mur de pierres percé d’une arche, à un mètre sous l’asphalte de l’avenue. Ces vestiges appartiendraient à l’époque ottomane, avance un archéologue.
Le quotidien précise qu’en vertu de la loi n°2863 sur la protection des biens culturels, des fouilles doivent être entreprises par des archéologues, qui rendront un premier rapport au Conseil de protection des biens culturels concerné. Ce conseil doit ensuite déterminer si les vestiges seront protégés sur place – entrainant l’arrêt des travaux dans la zone – ou bien s’ils doivent être extraits pour être protégés ailleurs.
Depuis novembre 2012, ouvriers et machines travaillent jour et nuit au percement du tunnel qui doit rendre entièrement piétonne la place la plus fréquentée d’Istanbul. Il mesurera 400 mètres de long dans le sens Tarlabaşı-Harbiye et 320 mètres dans le sens inverse. La municipalité prévoit la fin du chantier en juin 2013, mais les fouilles archéologiques pourraient retarder ses plans.
Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 27 février 2013

lundi 11 juin 2012

Le Sénat débat de l’urbanisation d’Istanbul



Mots clés : 
Le Comité France-Turquie a organisé un colloque au Sénat le 30 mai sur Istanbul et les enjeux architecturaux auxquels est confrontée cette ville. La question de son identité culturelle, remise en question par des transformations urbaines liées au développement des transports, a été minutieusement abordée.
Le 30 mai 2012 se pressait à l’entrée du Sénat rue de Vaugirard une petite foule de turcophiles : tous se rendaient à la conférence-débat sur le thème «Regards sur Istanbul», organisée par le Comité France-Turquie. Plusieurs intervenants de qualité et d’horizons divers se sont interrogés sur les enjeux de l’urbanisation et la vie culturelle stambouliote. La conférence a débuté avec l’intervention de Nicolas Monceau, maître de conférences en sciences politiques, directeur de l’ouvrage Istanbul, qui a dressé le portrait de la culture à Istanbul, dont les particularités sont à l’image du modèle économique national. La politique culturelle est en effet très largement privatisée, fonctionnant sur les investissements de fondations telles que Sakip sabanci, Istanbul modern ou SantralIstanbul.
Les archéologues en rêvaient, Marmaray l’a fait
La deuxième idée phare soulevée lors de cette conférence est celle d’une progressive «désincarnation» de la ville, qui perd de ses particularismes pour devenir une métropole comme une autre. Natacha Pakker, architecte urbaniste et enseignante à l’Ecole d’Architecture de Versailles a ainsi insisté sur les énormes chantiers qui font se confronter Istanbul à son passé. Le projet Marmaray par exemple : ce chantier visant à relier par le métro les quartiers de Gebze et Halkali a pris deux ans de retard en raison de découvertes historiques. Les fouilles ont d’ailleurs mis à jour l’existence du plus grand port de la ville au IVe siècle : le Port de Théodose, probablement détruit par un tsunami.
La priorité : un réseau de transport en commun
Ont enfin été diffusées des images de la mairie d’Istanbul promouvant la ville, puis un court-métrage, Ekümenopolis, qui contrastait avec la vidéo de la ville d’Istanbul. Le court-métrage montrait comment la ville croît de façon démesurée et déséquilibrée, renvoyant les personnes pauvres toujours plus loin à la périphérie des villes et privilégiant toujours le moyen de transport automobile. Cela a été l’occasion pour les deux derniers intervenants, Ali Topçu, architecte, et Christiane Blancot, architecte-urbaniste, d’apporter des réponses aux problèmes d’urbanisation que rencontre Istanbul. Pour Mme Blancot, Istanbul peut supporter la mondialisation : jusqu’à présent, elle a su conserver son identité entre tradition et modernité, réutiliser son patrimoine, et possède donc un savoir-faire qui se perpétue. Mais elle connaît un besoin urgent de développer son réseau de transports en communs. D’après Christiane Blanco, il s’agit de «la seule alternative valable».
Paris