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mercredi 19 février 2014

Turkey economic model faltering

 18 février 2014

Posted by Acturca - Actuality ala turca in Economy / Economie, Turkey / Turquie. 
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USA Today, February 18, 2014, p. 4B
by Victor Kotsev, Istanbul, Special for USA Today
It’s a member of the ‘Fragile Five’ at-risk economies. Mustafa Derioglu sells concrete, insulation and other supplies for the building boom that’s brought prosperity to this cosmopolitan city for years.
But Turkey’s economy, which was held up by economists as a model for emerging nations looking to industrialize, is faltering on high inflation and consumer debt taken on during good times.

jeudi 20 juin 2013

#OCCUPYGEZI – Quelles conséquences sur l'économie turque

Depuis une semaine, le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan accuse régulièrement les banques internationales d'être à l'origine du mouvement de contestation qui secoue son pays depuis le 31 mai. Plus que le bilan matériel, ce sont les discours du Premier ministre qui risquent de mettre à mal l'économie de son pays, laquelle repose en grande partie sur l'apport des investissements étrangers.
En début de semaine dernière, le Premier ministre turc a dénoncé le lobby de “ceux qui spéculent sur des taux élevés”, les accusant de vouloir déstabiliser les marchés de capitaux. Il a ajouté devant ses partisans réunis à Ankara : “Si vous [le lobby du taux d'intérêt,ndlr] êtes pris en train de spéculer, nous vous étoufferons. Peu importe qui vous êtes, nous vous étoufferons”.

Photo TQ
Selon Timothy Ash, responsable des marchés émergents chez Standard Bank, l'emportement de Recep Tayyip Erdoğan à l'encontre des spéculateurs traduit un changement d'attitude du gouvernement envers les investisseurs étrangers. “Cela marque une volte-face pour un gouvernement qui est toujours apparu comme soucieux de valoriser l'investissement étranger et qui a toujours été très sensible aux marchés”.
L'effet domino” des propos du Premier ministre
Entre le début des violences le 31 mai et le 10 juin, la Bourse d'Istanbul a enregistré une baisse de 19%. Cette “volte-face” du Premier ministre pourrait bien être en train de faner la confiance que les investisseurs étrangers accordent à la Turquie. Le vice-Premier ministre chargé de l'économie, Ali Babacan, a annoncé en début de semaine que l'équivalent d'un milliard d'euros de capitaux étaient sortis du marché boursier turc depuis le 26 mai. La banque centrale turque a confirmé ce mardi que les flux de capitaux vers la Turquie avaient ralenti en raison des incertitudes globales. Mercredi, elle a interrompu la baisse des taux d'intérêts pour soutenir la monnaie nationale. Cette mesure est contraire à la politique du gouvernement, qui milite pour les taux d'intérêts nuls.
Après avoir suggéré le boycott des banques privées, le Premier ministre s'en est pris au secteur industriel depuis que Cem Boyner, l'un des plus grands patrons du pays, a affiché son soutien aux manifestants. Les accusations répétées du Premier ministre combinées à la prolongation des heurts semblent avoir déclenché un effet domino néfaste pour l'économie du pays, jusque là applaudie pour ses succès.
Le secteur du tourisme particulièrement touché
D'après le ministère de l'Intérieur, le bilan matériel au 19 juin s'élevait à 140 millions de livres turques. La pérennisation de conditions politiques instables engendre logiquement une situation économique et financière fragile. L’agence Moody’s avertissait déjà le 10 juin que la contestation pourrait mettre en danger la note de crédit du pays. Même si le mouvement de contestation s'est un peu apaisé depuis la reprise du parc Gezi par la police le week-end dernier, la situation reste instable.
Le tourisme, sensible à la crise politique actuelle, est le secteur qui a le plus souffert. L'Union des hôteliers et investisseurs turcs (TUROB) a déclaré ce mercredi que 60% des réservations d'hôtel avaient été annulées depuis le 31 mai. A cela s'ajoutent la suppression de plusieurs congrès et festivals internationaux. La TUROB précise que si les événements perdurent, des emplois pourraient être menacés.
Ce jeudi matin, la TUROB a publié son bilan de 20 jours de troubles: 215.862 nuits d'hôtel annulées; 80% d'annulations à Taksim-Beyoğlu-Şişli-Beşiktaş; 45.950 annulations pour le long terme. Coût total des pertes causées par ces annulations: 54,7 millions d'euros.
Pour le président de l'Association des artisans du Grand Bazar, Hasan Fırat, il est déjà trop tard. Après avoir indiqué que le plus grand marché couvert de la ville est actuellement “à 30% de ses capacités habituelles”, il explique au Hürriyet Daily News que “même si les manifestations s'arrêtent aujourd'hui, il faudra attendre un mois avant que les touristes reviennent à Istanbul.” Les commerçants de l'avenue Istiklal, touchée par des affrontements plusieurs nuits d'affilée, s'accordent à dire que les ventes ont subi une évolution en dents de scie ces derniers jours.
A l'inverse, les vendeurs ambulants ont largement profité de l'occupation du parc entre le 1er et le 15 juin. “Le premier samedi, j'ai vendu 600 concombres à une livre chaque en une journée”, précise l'un des vendeurs sur place. A Ankara, les hôtels ne désemplissent pas, au contraire. “Nous avons même enregistré des réservations supplémentaires en raison de l'arrivée des forces de police venues d'autres villes pour maîtriser les affrontements”, se réjouit Seçim Aydın, président de l'Union des opérateurs touristiques d'Anatolie (ATID).
Diane Jean (www.lepetitjournal.com/Istanbul) jeudi 20 juin 2013

vendredi 7 décembre 2012

FRANCE/TURQUIE – Les échanges commerciaux progressent peu cette année


Les échanges commerciaux entre la France et la Turquie ont atteint 9,551 milliards d’euros à l’issue des neuf premiers mois de 2012, en légère hausse de 0,6% par rapport à la même période en 2011. La Chambre de commerce française en Turquie reprend l’information dans sa dernière “lettre mensuelle”, citant les estimations des douanes françaises. Les exportations turques en France baissent de 3,2% sur cette période de référence, en raison du net recul des ventes de véhicules automobiles (-20,9%). Ce recul “explique à lui seul cette contre-performance, due à l’atonie de la demande en France”, analyse la chambre.
Les exportations des entreprises françaises en Turquie, en revanche, augmentent de 3,7% sur la même période. Le solde en faveur de la France (+1,039 milliard d’euros) est en hausse de 46,3% par rapport à celui constaté sur les neuf premiers mois de 2011.
Toujours sur les neuf premiers mois de 2012, les Douanes turques indiquent que la France, avec 6,413 milliards de dollars d’exportations en Turquie, perd 0,3 point de parts de marché. Elle se situe toujours au 7ème rang des pays fournisseurs de la Turquie derrière la Russie, la Chine, l’Allemagne, les États-Unis, l’Italie et l’Iran. En outre, la France avec 4,544 milliards de dollars d’importations provenant de Turquie, recule de trois places et perd 1,2 point de parts de marché. Elle se situe désormais au 8ème rang des pays clients de la Turquie, derrière l’Allemagne, l’Iran, l’Irak, le Royaume-Uni, les Émirats Arabes Unis, la Russie et l’Italie.
“Le contexte économique actuel – croissance 0 en France et baisse de 5 points de pourcentage de la croissance en Turquie - ne devrait pas permettre aux échanges commerciaux franco-turcs sur l’ensemble de l’année 2012 de franchir la barre symbolique des 13 milliards d’euros (12,5 milliards en 2011)”, conclut Zeynep Necipoğlu, présidente de la Chambre de commerce française en Turquie.
Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) jeudi 6 décembre 2012

vendredi 23 novembre 2012

Article paru dans MORNINGSTAR: Passion turque


L’agence de notation Fitch a élevé Istanbul à la catégorie réservée aux économies les plus solides. Pendant ce temps, le marché boursier s’envole.

Valerio Baselli 22.11.2012

Il n’y a que quelques années encore, la Turquie était vue comme extrêmement sensible aux chocs économiques externes et était considérée économiquement difficile, avec une inflation galopante, un déficit du compte courant élevé et une monnaie faible. Aujourd'hui, même si elle n'est pas complètement à l'abri des conflits récents, elle est désormais considérée par beaucoup comme une sorte de “valeur refuge” dans une région assez critique. L'agence de notation Fitch a récemment reconnu cet état de fait en augmentant la notation de crédit à long terme du pays de BB+,à BBB- le portant en fait dans la catégorie “Investment Grade”, celle réservée aux économies les plus solides.
Les possibles conséquences
“Cette décision pourrait réduire davantage le coût du financement pour le gouvernement, les banques et les entreprises, en partie parce que les grands investisseurs pourront désormais investir en Turquie. Toutefois, de nombreux fonds de pension exigent pour investir qu’au moins deux agences de notation attribuent le statut « Investment Grade », et S&P et Moody n'ont toujours pas bougé dans ce sens”, déclareGregor Holek, gérant de l'équipe Emerging Markets Equities de Raiffeisen Capital Management.
Dans le même temps, une note plus élevée suggère que la banque centrale et le gouvernement doivent être prêts à mieux contrôler les finances publiques et le déficit du compte courant par la mise en œuvre des réformes. Ceci, bien sûr, ne peut être accompli du jour au lendemain. À l'heure actuelle, le solde du compte courant reste le facteur de risque majeur pour les marchés financiers.
"À cet égard, l'augmentation de l'investissement direct étranger dans les sites de fabrication turcs est encourageant. Sur le financement de la balance des opérations courantes, le gouvernement essaie aussi de prendre des contre mesures. Pour réduire la dépendance relativement élevée aux investisseurs étrangers, il propose d'augmenter le ratio de l'épargne nationale, par exemple, avec la mise en œuvre des réformes de la fiscalité et des retraites".
Le marché monte, mais il faut que les bénéfices des sociétés suivent
La Bourse du Bosphore est déjà l'une des plus performantes du monde en 2012. De plus en plus de capitaux étrangers arrivent sur le marché financier et les projets économiques du pays. Jusqu'à présent cette année, les actions turques ont monté de plus de 40% (Ise 30 Index), et les échanges sur le marché boursier sont proches du record de 2010. Sur dix ans, le marché turc a donc généré une performance plus élevée que l'ensemble des marchés émergents. "Le relèvement de la notation peut favoriser la surperformance, mais pour atteindre un rendement positif de plus longue durée, les valorisations des actions doivent être, en dernière analyse, soutenue par le développement des bénéfices des entreprises", explique Holek.
Le pays, cependant, est toujours confronté à des problèmes anciens, tels que le déficit du compte courant mentionné précédemment, mais aussi la sensibilité aux fluctuations des prix du pétrole. Selon le gérant, "les tendances démographiques à long terme (la Turquie a de loin la meilleure pyramide des âges en Europe) ainsi que la position géo-stratégique pointent vers une croissance persistante. A court et moyen terme toutefois, on peut s'attendre à une nouvelle baisse des taux d'intérêt et de l'inflation".
Comment profiter de la crise mondiale
Malgré sa proximité géographique avec la zone euro et la forte baisse des exportations vers l'Union Européenne, la Turquie bénéficie indirectement des difficultés économiques et financieres croissantes de nombreux pays développés. "Même la forte hausse des prix des céréales sur les marchés boursiers internationaux des matières premières n'a pas eu un impact important pour l’instant, puisque le marché intérieur du blé est en grande partie isolé de ces mécanismes et est étroitement réglementé par le gouvernement".
Les taux d'intérêt en baisse soutiennent également l’essor de la Turquie à bien des égards: ils stimulent les prêts, la consommation et l'investissement, et conduisent à une augmentation des profits des banques et des entreprises. La baisse des taux d'intérêt permet également de soutenir le budget national. En effet, si en 2002, les paiements d'intérêts ont représenté environ 43% des dépenses publiques, aujourd'hui ce chiffre est en baisse d'environ 12%. "Le scénario de taux d'intérêt quasi-nuls qui caractérise les États-Unis et les principaux pays de la zone euro favorise également le flux de capitaux étrangers vers la Turquie", a déclaré Holek. "Bien sûr, le niveau des taux d'intérêt est déjà beaucoup plus faible qu’il y a quelques années, mais dans le contexte international, la Turquie offre encore un beau profil risque-rendement pour des placements financiers et immobiliers."
Les risques
La situation politique tendue dans la région (Irak, Syrie, Libye, Egypte, Israël, Iran) est une épée à double tranchant pour la Turquie. Pour Holek, "jusqu'à présent, le pays a bénéficié de la situation en agissant comme un véritable aimant pour la fuite des capitaux de ces pays. Toutefois, une possible implication dans la guerre civile en Syrie serait extrêmement négative pour la Turquie, en dépit de sa force militaire ». "Un autre risque réel, ajoute le gérant, est la possibilité que l'approvisionnement en énergie du pays soit menacé par une escalade massive dans le cas, par exemple, d’attaques militaires israélo-américaines contre l'Iran. Les possibles effets ne seraient évidemment pas limités à la Turquie et auraient de graves conséquences au niveau mondial.
L'offre de fonds en France
Les investisseurs français peuvent être exposés au marché turc en choisissant parmi sept fonds communs et cinq ETF. Les analystes Morningstar invitent toujours à faire preuve de prudence au moment de choisir un fonds spécialisé sur un seul pays et suggèrent de n’y consacrer qu’une petite partie d'un portefeuille déjà bien diversifié.

jeudi 22 novembre 2012

Le FMI prévoit une croissance de 3% pour la Turquie


Le Fond monétaire international a publié une note relative aux prévisions de croissance de l’économie turque.Selon cette note, l’économie turque devrait enregistrer une croissance de 3% en 2012 et de 3,5% en 2013.
L’inflation sur les prix à la consommation devrait être établie à 7,5% sur les douze mois de 2012, et autour de 6,2% pour 2013.
Le PIB de la Turquie avoisine 1 trillion 419 milliards de lires turques, toujours selon la même source, et devrait atteindre 1 trillion 585 milliards de lires turques l’an prochain.
L’économie turque enregistre une croissance supérieure à la moyenne générale, entre 2010 et 2011, fait observer la note du FMI, ajoutant qu’un faible ralentissement est à noter cette année.
La croissance a été équilibrée grâce aux politiques monétaires de rigueur et les politiques de précautions macros menées en 2011, provoquant une baisse de la demande intérieure et des importations, encourageant dans le même temps les exportations avec l’ouverture de nouveaux marchés.
Le FMI conseille par ailleurs à la Banque Centrale turque de s’approprier une politique monétaire davantage tournée vers l’avenir, et de suivre attentivement les évolutions des capitaux.
Date de l'information : 21 Novembre 2012 07:34

vendredi 9 novembre 2012

Turquie : La production industrielle en hausse


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La production industrielle turque a augmenté de 6,2 % au mois de septembre par rapport à la même période l’an dernier.
D’après les résultats de l’Institut des statistiques de Turquie, l’indexe du secteur des mines et des carrières a augmenté de 10,8% en septembre par rapport à la même période l’an dernier.
Le secteur de la production industrielle a enregistré une hausse de 6,2%, tandis que le secteur de la production et de la distribution de l’électricité, du gaz, et de la climatisation a augmenté de 4,1%.
Date de l'information : 08 Novembre 2012 11:54  TRT

vendredi 6 juillet 2012

Les Turcs et leur démographie, du pragmatisme avant tout ???


Selon Egemen Bağış, ministre des Affaires européennes et négociateur en chef, l'exhortation du Premier Ministre Erdoğan à mettre au monde au moins trois enfants par famille est scientifiquement fondée. C’est ce qu’il a déclaré lors de la 28ème réunion de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie qui se tenait à Istanbul du 1er au 4 juillet. "Les statistiques montrent que la population de Turquie va vieillir à moyen et long terme. Par conséquent, la demande de notre Premier Ministre d’au moins trois enfants [par famille] est totalement basée sur des données scientifiques. C’est une proposition réaliste et visionnaire" a-t-il déclaré, cité par Hürriyet Daily News. Le nombre d’enfants par couple ne serait donc pas seulement une question morale, mais aussi économique. "Si nous perdons le dynamisme de la population, nous perdrons aussi le dynamisme en économie" a rajouté le ministre.
Margaux Agnès (www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 6 juillet 2012

mardi 19 juin 2012

Baisse du chômage en Turquie (9,9%)


Baisse du chômage en Turquie (9,9%)


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[Le Figaro] via CAN TURQUIE NEWS- Le taux de chômage officiel en Turquie a baissé à 9,9% de la population active entre février et avril, comparé à la même période de l’an dernier (10,8%), selon les données officielles.
Le nombre de chômeurs a baissé de 201.000 à 2,615 millions, a précisé l’Institut de la statistique, après une étude portant sur 97.121 personnes. La Turquie, 17ème économie mondiale, a effectué un rétablissement spectaculaire après la crise économique et financière mondiale, avec une croissance de 8,9% en 2010 et 8,5% en 2011.
Mais la croissance attendue cette année n’est que de 4%, du fait notamment de la crise en Europe qui affecte les exportations turques.
L’emploi est une des priorités du gouvernement en Turquie qui compte 73 millions d’habitants. Selon les experts, le taux de chômage réel est nettement plus élevé que les données officielles, de nombreux secteurs échappant aux études sur l’emploi.

mercredi 23 mai 2012

L'Europe a beaucoup de choses à apprendre de la Turquie "


Dans une interview à l’agence de presse turque Anadolu Ajansı, Heike Harmgart, économiste à la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD), a déclaré qu’au regard de la croissance turque "l’Europe [avait] beaucoup de choses à apprendre de la Turquie ". Dans cet entretien, elle a également dit que la BERD voyait du potentiel dans la Turquie, bien que les estimations de croissance pour 2012 (2.5%) soient plus basses que celles du gouvernement turc (4.5%). Selon elle, l’économie turque va continuer à se développer mais à un rythme moins soutenu qu’en 2011. Concernant l’inflation, Heike Harmgart a constaté que le taux à deux chiffres est bien au-delà des 6% qu’avait prévus la Banque centrale turque. La politique monétaire a été resserrée depuis octobre 2011, mais cela n’est pas suffisant pour passer en dessous de la barre des 10% d’inflation selon la BERD. Enfin l’économiste a déclaré que la Turquie se devait d’être plus compétitive au niveau des exportations. Une diversification de celles-ci permettrait de faire face à l’actuel déficit.
La BERD est présente à Istanbul depuis 2009 et ouvrira fin mai un bureau à Ankara. L’organisme a déjà investi 1.5 milliard d’euros en Turquie, par le biais d’une cinquantaine de projets.
Margaux Agnès (www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 23 mai 2012