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vendredi 19 mai 2017

Ancient city of Jethro waits for visitors



The ancient city of Jethro in the southeastern province of Şanlıurfa doesn’t get as much as attention as nearby Harran, but locals and visitors are hoping that will soon change.

“Şanlıurfa is known as the city of prophets; there is the trace of a prophet everywhere. People find peace here but is it really neglected. Officials should clean this place,” said a visitor to the town, Ali Kaya, adding that people from neighboring villages often drop by to visit.

Locals believe that the prophet Jethro, known as Shoaib in the Qur’an, lived and met the prophet Moses in the ancient city.

Traces of the walls of the ancient city, where many rock tombs and stone structures draw attention, can still be seen in a large field as well as many other caves and tunnels. Later, a Roman city was also built on the site.

http://www.hurriyetdailynews.com/ancient-city-of-jethro-waits-for-visitors-.aspx?pageID=238&nID=113156&NewsCatID=375 

mercredi 1 mars 2017

Rock tombs of Turkey's Şanlıurfa to open to tourism

AA photo
Rock tombs nearly 2,000 years old, which have been unearthed in caves in the southeastern province of Şanlıurfa, are to be opened to tourists after excavations are completed.

The historical city of Şanlıurfa, home to myriad civilizations in its millennia-old history, is a leading spot for faith and culture tourism in Turkey.

Ancient caves were unearthed during restoration and environmental arrangement works in the city’s Kale Eteği and Kızılkoyun districts, where shanty houses had been previously built. Inside the uncovered caves a total of 113 rock tombs were found.

http://www.hurriyetdailynews.com/rock-tombs-of-turkeys-sanliurfa-to-open-to-tourism-.aspx?pageID=238&nID=110082&NewsCatID=375

mardi 31 janvier 2017

Inns, mosaics found in Şanlıurfa

ŞANLIURFA – Doğan News Agency

Archaeological surface survey and cleaning works in the ancient site of Kızılkoyun and the outskirts of a historic castle in the southeastern province of Şanlıurfa’s Haleplibahçe district have unearthed 133 inns and five mosaics. 

Rock tombs from the Roman and Edessa (Osrhoene) kingdoms have also been unearthed in the inns. 

Works that started in the region last year around Balıklıgöl, the historic castle and the Archaeology and Mosaic Museum, have been carried out by archaeologists and specialists. 

Some 61 inns have been found in Kızılkoyun, while 72 more have been found near the castle. The rock tombs in the inns, which depict various motifs and figures, have now been taken under protection. Among the motifs on the site are tombs featuring humans, flowers and snakes. 

Officials reported that the inns and mosaics would be cleaned and opened to tourism. 

Şanlıurfa Metropolitan Mayor Nihat Çiftçi, who visited the area, said the artifacts would be protected in their original places.

 

jeudi 15 décembre 2016

Göbeklitepe to soon enter UNESCO list



The ancient site of Göbeklitepe, one of the world’s most important archaeological sites boasting a history of 12,000 years, is set to soon graduate from UNESCO’s tentative list of World Heritage Sites to the permanent list.

Located in Örencik, 18 kilometers from the center of the southeastern province of Şanlıurfa, Göbeklitepe was first discovered in 1963 during surface surveys carried out by researchers from the universities of Istanbul and Chicago.

Since 1995, the Şanlıurfa Museum and the German Archaeology Institute have been collaborating on the excavations.

Researchers have discovered 3- to 6-meter-long T-shaped steles weighing between 40 and 60 tons, the ruins of the world’s oldest temple, a large number of wild animal figures, human sculptures and a nearly 65-centimeter-long human sculpture from 12,000 years ago.

Many organizations, including the Culture and Tourism Ministry, have been conducting various projects for the promotion of Göbeklitepe.

http://www.hurriyetdailynews.com/gobeklitepe-to-soon-enter-unesco-list.aspx?pageID=238&nID=106917&NewsCatID=375

lundi 15 avril 2013

Şanlıurfa Le Royaume de la Culture et de la Croyance


Şanlıurfa se situe au sud-est de la Turquie, au centre du GAP (le Projet d'Anatolie du Sud-Est), qui est un projet de développement important du pays. Comme Şanlıurfa est un des plus anciens établissements en Mésopotamie et qu'elle est située dans une région stratégique près des sources d'eau et dans un carrefour commercial, Şanlıurfa a toujours eu une grande importance dans l'histoire. Possédant une histoire de 11 500 ans, la ville où se rencontrent la religion, la culture et les civilisations, est un centre attractif par sa situation géographique qui est entre l'occident et l'orient, sur la Route de la Soie. En raison de ces particularités, Şanlıurfa a été tout au long de l'histoire, le berceau des civilisations, des royautés et des Etats indépendant y ont été fondé. Cette ville a été une ville agricole par sa terre, qui est la plus fertile du monde. En prenant en compte cet héritage, la République Turque a commencé à appliquer le projet GAP qui est le plus grand projet du pays. De plus, le barrage Atatürk, a enrichit cette ville qui était déjà commerciale et culturelle, avec l'industrie et l'agriculture. Cette ville a été le berceau des croyances polythéistes, de plusieurs prophètes, et le lieu de passage d'autres prophètes. Le prophete Abraham, considéré comme l'un des personnages les plus importants de l'Islam, le Christianisme et le Judaisme, est né sur ces terres. Jésus a bénit ces terres et c'est pour cela qu'elle est surnommée « la ville des prophetes » ou bien « le pays des prophetes ». Elle est particulierement identifiée au prophete Abraham et Eyyup. Les œuvres des intellectuels qui se sont formés à l'académie de Urfa ainsi qu'à l'université de Harran qui se trouvent à Şanlıurfa, ont enrichit la formation de la civilisation occidentale, et ont influencé les idéologies occidentales moderne par la science, la philosophie, et l'art. Şanlıurfa, possede un potentiel important du point de vue de la diversité touristique par son patrimoine culturel et religieux, les sports d'hiver avec les pistes de ski de Karacadağ, les stations thermales aux bains de Karaali, et les sports aquatiques pratiqués au Barrage Atatürk.

mercredi 9 janvier 2013

TURQUIE: 133 élèves… pour une seule classe !


Publiée début janvier par l’agence de presse Doğan (DHA), très commentée sur la page Facebook du petitjournal.com d’Istanbul, la vidéo de la semaine montre les conditions déplorables d’enseignement dans une école de l’Est de la Turquie.
Cent trente-trois élèves dans une seule classe. C’est la triste réalité de l’école élémentaire du village de Çıkrık, dans la province de Şanlıurfa.
Si, dans la majorité des écoles turques, on ne compte pas plus de 30 à 35 enfants par classe, ici les deux classes de première section abritent respectivement 130 et 133 élèves. Les écoliers sont donc contraints de partager un pupitre à quatre ou cinq. Un père se plaint : “Il n’y a même pas assez de sièges et nos enfants sont obligés de s’asseoir sur leurs sacs.”
Selon la dépêche d’agence qui accompagne la vidéo, cette surpopulation découlerait d’un manque de salles dans l’école, qui accueille au total 1.285 enfants venus des nombreux villages alentours.
D’après Hamza Erkal, le gouverneur du district de Siverek, la situation pourrait toutefois s’améliorer puisque une nouvelle école doit voir le jour l’année prochaine. En attendant, des préfabriqués seront mis à disposition des élèves et de leurs courageux professeurs.

Fanny Fontan (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 9 janvier 2013

mercredi 5 décembre 2012

Orpheus Mozaiği Evine Dönüyor


Orpheus Mozaiği Evine Dönüyor

Dallas Sanat Müzesi mozaiği Türkiye'ye iade etme kararı aldı.


Dallas Sanat Müzesi, Şanlıurfa sınırlarından kaçırıldığı belirtilen Orpheus Mozaiği'ni gönüllü olarak Türkiye'ye iade ediyor.
New York Times gazetesinin haberine göre, MS. 194 yılına tarihlendirilen eser, Şanlıurfa sınırlarından kaçırılmasının ardından Dallas Sanat Müzesi'nce 1999 yılında bir müzayededen 85 bin dolara satın alındı.
Müze yetkililerinin, eseri gönüllü olarak Türkiye'ye iade etme kararını, yabancı kuruluşlarla vardıkları değişim anlaşması planı uyarınca aldıkları belirtildi.
Orpheus Mozaiği'nin Şanlıurfa yakınlarındaki tarihi Roma kenti Edessa'da bir binanın yer dekorunda kullanıldığı tahmin ediliyor. Eserde, Orpheus'un vahşi hayvanları evcilleştirmesi konu ediliyor.
Haberde, Dallas Sanat Müzesi'nde Anadolu'dan kaçırılan başka eser olmadığı için, değişim programları kapsamında tarihi Anadolu eserlerinin bu müzede sergilenmesinin önünün açıldığı vurgulandı.

mercredi 30 mai 2012

Les tespih deviennent une industrie en Turquie


Les tespih deviennent une industrie en Turquie


La fabrication des tespih (chapelet) connaît une ampleur sans précédent en Turquie avec une forte internationalisation de sa commercialisation. Objet de mode, passe-temps, acquis souvent pour son caractère esthétique, le tespih tend aujourd’hui à perdre son caractère religieux.
Ils sont partout en Turquie. Dans des tailles, des matériaux, des couleurs différents. Le tespih (misbaha en arabe ou «chapelet» en français) devient souvent un accessoire de mode ou même un passe-temps, plus qu'un objet religieux. Il compte 33 ou 99 perles, destinées à servir de support au dhikr (invocation de Dieu à travers ses 99 attributs), ou à glorifier Dieu à l'issue de la prière. En Turquie, le tespih est désormais une industrie : à Sanliurfa, par exemple, on ne dénombre pas moins de vingt-cinq ateliers de fabrication. Dans la même perspective, les sites internet de vente en ligne de tespih eux aussi fleurissent. Le site Tespihci baba («Papa le faiseur de tespih»), notamment, présente la fabrication des chapelets comme un art véritable et l'entreprise privilégie la confection à la main. Et, en effet, une gamme impressionnante de tespih est présentée : on en trouve en ambre, en jais, en bois de rose, en écailles de tortue, en ivoire, parfumés à la rose, en soie, tricotés à la main, ce qui explique parfois le prix prohibitif de certaines pièces.
Le tespih : une industrie mondialisée
Engin Tanrikulu, propriétaire du fameux café Seyitogullari Kiraathanesi, à Izmir, s'est spécialisé dans la vente de tespih. Ceux-ci sont exposés aux yeux des clients, qui viennent parfois de très loin pour acheter ou seulement admirer les centaines de chapelets. Il confie ainsi à Hürriyet que «des producteurs de toute la Turquie viennent au café pour faire de la publicité à leurs chapelets […]. Nous avons des clients réguliers qui viennent acheter et vendre des tespih depuis vingt ans», et il poursuit : «les prix vont de 5 lires [environ 2 euros] jusqu'à 100.000 lires [environ 43.000 euros], selon leur matière première et le mode de confection». En effet, l'industrie du tespih est à l'image de l'économie turque : de plus en plus internationalisée. Ainsi, les fabricants importent des produits d'Asie principalement, et notamment de Chine, d'Inde, de Corée, puis transforment ces matières premières dans leurs ateliers. Les tespih sont ensuite vendus en Turquie, mais aussi exportés à l'étranger et en particulier dans les pays arabes.
Paris

mardi 1 mai 2012

SANLIURFA: richesse et charme d'une ville aux portes du moyen-orient


Şanlıurfa se situe à l’est de la Turquie, non loin de la frontière syrienne. La ville est connue pour son patrimoine historique et religieux, ainsi que pour ses spécialités culinaires comme le Urfa Kebab ou le Çığ Köfte. Mais Şanlıurfa est aussi une ville où il fait bon flâner, que ce soit sur les bords du lac aux poissons, dans les cours des mosquées ou dans les allées du bazar. Une ville qui promet un fort dépaysement, surtout si l’on vient d’Istanbul
Şanlıurfa est d’abord connue pour son patrimoine historique et religieux. Selon la tradition, c’est dans cette ville que serait né le prophète Abraham. Le roi assyrien de l’époque (Nemrod) avait fait un rêve lui montrant qu’un prophète à naître dans l’année viendrait détruire son trône. Pour conjurer le sort, le roi fit assassiner toutes les femmes enceintes du royaume. La mère d’Abraham réussit à y échapper en se réfugiant dans une grotte où elle donna naissance à son fils et l’éleva à l’abri du roi pendant quelques années. Mais plus tard, Abraham fût condamné par Nemrod pour sa croyance en un dieu unique. Jeté sur le bûcher, le prophète fut sauvé des flammes par Dieu qui transforma le feu en eau et les bûches en poissons. Aujourd’hui cette croyance perdure avec la grotte d’Abraham, lieu de prière et de pèlerinage pour les croyants mais aussi avec le lac aux poissons ("balıklı gölü"), un bassin rempli de carpes.
Balikli gölu (photo MA)
Symboles du sauvetage d’Abraham, ces poissons sont sacrés et la légende veut que celui qui les tue ou les mange devienne aveugle. Les poissons sont aujourd’hui choyés par les promeneurs qui achètent des petits sachets de nourriture aux vendeurs qui bordent le bassin.
Il y a comme un air de Moyen-Orient qui flotte à Şanlıurfa. Beaucoup des hommes portent le keffieh et le sarouel. Les femmes, quant à elles, recouvrent leur tête d’un beau foulard violet aux broderies argentées que l’on retrouve sur tous les étals de marché. En se promenant dans les allées du bazar ou en surplombant la ville depuis la forteresse, on se croirait presque en Syrie, qui n’est d’ailleurs pas très loin (une cinquantaine de kilomètres). Malgré le fait que la ville soit touristique, le bazar a gardé son charme authentique et le paysage n’est encore pas trop dénaturé par les infrastructures modernes. Les habitants sont extrêmement chaleureux et accueillants. En se promenant avec un appareil photo à la main, on est très souvent abordé par des "Hello. Photo ?" de la part d’enfants (et aussi de moins jeunes) qui veulent être pris en photo. Certains donnent leur adresse pour recevoir le cliché, mais la plupart veulent juste poser devant l’objectif l’espace de quelques secondes. Bien sûr le traditionnel çay turc est gentiment proposé à chaque coin de rue, et parfois plus : un repas de fiançailles, une soirée entre étudiants qui se finit en danses kurdes, chants et musique…
La région alentour est elle aussi pleine de charme. Plaines, montagnes et petits villages isolés offrent de beaux paysages et un moyen de se ressourcer loin de l’agitation des grandes villes. L’hiver on peut faire du ski sur les hauteurs alors qu’en été des activités nautiques sont proposées, notamment sur le barrage Atatürk. Réalisé en 1992 ce barrage est un des plus grands du monde et est au cœur du projet GAP qui vise à irriguer les plaines de la région. A quelques dizaines de kilomètres de Şanlıurfa, on peut aussi rejoindre le mont Nemrut et ses célèbres statues (vestiges de l’époque du roi Antochios) ou alors le village d’Halfeti au bord d’un grand barrage au bleu éclatant.
Une région en Turquie très dépaysante. A découvrir !
Margaux Agnès (www.lepetitjournal.com/istanbul) mardi 1er mai 2012
Nous conseillons à tous les lecteurs du petitjournal.com l’hébergement à l’hôtel Dedeman, voir Bon Plan à la Une actuellement.
Regardez et écoutez le diaporama sur le site (www.lepetitjournal.com/istanbulpour vous transporter quelques minutes dans cette belle région :