- Demain à 15h, au salon de lecture, dans le cadre du zoom sur l’Iran, une séance d’écoute consacrée santur Persan.
Une occasion de découvrir les compositions pe...rsanes du 17ème siècle réinterprétées par le musicien et ethnomusicologue Arash Mohafez... En partenariat avec la Société Française d’Ethnomusicologie.
Toutes les infos : http://bit.ly/TfXOxF
Notre objectif est de réunir les cultures turques, Moyen-orientales et françaises pour une meilleure connaissance entre nos peuples, une coopération, une amitié durable.
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mercredi 28 novembre 2012
mercredi 14 novembre 2012
au musée du quai branly avec Arash MOHAFEZ
zoom de l'automne : les mille et une frontières de l'Iran
Que sait-on de l’Iran et des Iraniens aujourd’hui ? La société iranienne est complexe et en proie à des mutations profondes, politiques, culturelles, sociales qui se jouent dans ses frontières mais aussi hors de ses frontières. Qui mieux qu’une anthropologue pour éclairer et comprendre les enjeux de ces évolutions ?
Plus qu’une simple étude sur l’Iran, l’ouvrage de F. Adelkhah dresse une théorie originale sur la globalisation et les conditions de la création d’une identité nationale dans laquelle les diasporas, les pratiques de voyage, les réseaux d’échanges - financiers, culturels, commerciaux - jouent un rôle majeur hors des frontières nationales.
À l’occasion de la sortie du livre remarquable de Fariba Adelkhah "Les mille et une frontières de l’Iran : quand les voyages forment la nation", le salon de lecture consacre son trimestre d’automne à l’Iran et au monde perse. À rebours de la vision orientaliste de l’Iran « éternel », un cycle sur ce qu’être Iranien (et Iranienne) veut aujourd’hui dire : voyager, s’expatrier, commercer, étudier, aller en pèlerinage, s’approprier le monde.
Un automne au salon pour rencontrer Catherine Clément et son invité, Amos Gitaï, le cinéaste Asghar Farhadi et une grande poète, Etel Adnan.
Plus qu’une simple étude sur l’Iran, l’ouvrage de F. Adelkhah dresse une théorie originale sur la globalisation et les conditions de la création d’une identité nationale dans laquelle les diasporas, les pratiques de voyage, les réseaux d’échanges - financiers, culturels, commerciaux - jouent un rôle majeur hors des frontières nationales.
À l’occasion de la sortie du livre remarquable de Fariba Adelkhah "Les mille et une frontières de l’Iran : quand les voyages forment la nation", le salon de lecture consacre son trimestre d’automne à l’Iran et au monde perse. À rebours de la vision orientaliste de l’Iran « éternel », un cycle sur ce qu’être Iranien (et Iranienne) veut aujourd’hui dire : voyager, s’expatrier, commercer, étudier, aller en pèlerinage, s’approprier le monde.
Un automne au salon pour rencontrer Catherine Clément et son invité, Amos Gitaï, le cinéaste Asghar Farhadi et une grande poète, Etel Adnan.
séance d’écoute : le santur persan
samedi 24 novembre à 15h
Par Arash Mohafez, ethnomusicologue et musicien (santur).Doctorant à Paris X - Nanterre, diplômé de musique de l’Université Sure de Téhéran, Arash Mohafez est un maître du cymbalum santur, qui a donné de nombreux concerts en Europe et en Asie.
Expert du style classique, il est aussi un connaisseur du système turc ottoman ancien qui au XVIIe siècle était similaire au système persan. Ses recherches consistent à exhumer les compositions persanes conservées dans les ouvrages de cette époque, et d’en donner une interprétation musicalement la plus crédible.
En collaboration avec la Société Française d’Ethnomusicologie.
« Musiciens de cour, Téhéran vers 1900 ». Tiré d’un tableau de Kamal ol-molk © Droits
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Arash MOHAFEZ,
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vendredi 8 juin 2012
TRANSES ET DESORDRES AU QUAI BRANLY
Du 8 au 17 juin 2012
En écho à l’exposition « Les Maîtres du désordre », le théâtre Claude Lévi-Strauss met en lumière certaines des traditions chamaniques et cultes de possession qui se caractérisent bien souvent par une forte dimension spectaculaire : des êtres humains, prêtres ou simples initiés, sont habités le temps d'un rituel par un esprit ou une divinité et se retrouvent à jouer un rôle dans un théâtre dont la dramaturgie, les règles et les codes varient selon les cultures.
Le musée du quai Branly met à l'honneur la tradition indienne du Sankirtana, rituel vishnouite rarement présenté à l'étranger, ainsi que la tradition soufie avec une cérémonie d'un village de Haute-Egypte.
Enfin, différentes activités sont proposées par la compagnie du chorégraphe et danseur Pedro Pauwels autour de La Danse de la sorcière de Mary Wigman et accompagnent, en accès libre, ces deux spectacles, du 15 au 17 juin 2012.
Sankirtana - chants et tambours du Manipur - Inde
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Vendredi 8, samedi 9 juin 2012 à 20h et dimanche 10 juin à 17h
Sankirtana, ou Nata Sankirtan, est le nom d’une cérémonie rituelle particulière aux communautés hindoues du Manipur, état du Nord-est de l’Inde. Nata veut dire danse et sankirtana signifie chant en chœur de forme responsoriale. Le Sankirtan est un cercle de prières, une glorification de la déité par des chants, des danses, de la cantillation et une virtuosité dans le jeu des tambours. Dans d’autres traditions, dans d’autres cultures, c’est par la répétition du nom de la divinité que le chantre lui rend hommage et peut chercher à l’atteindre. Dans cette tradition de l’hindouisme vishnouite, c’est dans la récitation et le chant de textes qui évoquent Krishna que l’hommage est rendu.
Présent à toutes les étapes qui marquent le cycle de la vie, le rituel du Sankirtana accompagne les hommes depuis leur naissance jusqu’à la mort, ainsi que lors de toutes les fêtes religieuses, notamment celles qui ont lieu au moment des équinoxes.
Rarement présenté à l’étranger, et jamais dans sa forme intégrale, le Sankirtana est un joyau du patrimoine culturel immatériel qui subjugue par la beauté des voix et des chants, des danses et des rythmes qui s’accélèrent en crescendo, et l'expression gestuelle d’une sobriété élégante et épurée.
Au coeur du Nil Soufi - chants et danses de Haute Egypte
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Mercredi 13 juin 2012 à 19h, jeudi 14, vendredi 15, samedi 16 juin à 20h et dimanche 17 juin à 17h
Une cérémonie dans un village de Haute-Egypte, dans la région de Louxor
Avec les munshiddin (chanteurs religieux) Sheir Hamid Hossein Ahmad, Sheikh Saoud et Sheikh Ghanan, ainsi qu’une quinzaine d’artistes.
Ce spectacle introduit par des images filmées, nous entraine dans l’univers des dhikr-s et hadra-s (les cérémonies soufies), un univers qui, grâce à la richesse des traditions populaires de Haute-Egypte, est unique dans le monde arabe.
Sur la place d'un village, une scène rudimentaire est dressée. Quelques bancs de bois accolés, des guirlandes d'ampoules en guise d'éclairage... La voix du munshid domine, sans cesse refaçonnée, privilégiant avant tout l'émotion loin du formalisme académique. Il recherche avant tout à communiquer ses sentiments, il recherche l'extase. En face, comme les guerriers d'une tribu antique, les hommes enturbannés penchent lentement leurs corps de gauche à droite, d'avant en arrière, c'est l'ébauche d'un tournoiement intense des bras et des épaules. La respiration haletante et saccadée devient anarchique et bientôt exultante et expiatoire.
Réalisation artistique : Alain Weber
Projet Sors : autour de la Danse de la sorcière de Mary Wigman
Du vendredi 15 au dimanche 17 juin 2012
Proposé par le chorégraphe Pedro Pauwels
Au programme : conférences, projections, ateliers et étapes de présentation
En accès libre, dans la limite des places disponibles
Qui sont aujourd’hui les « Maîtres du désordre » ? Comment les chorégraphes contemporains conçoivent-ils la construction d'un équilibre entre sagesse et excès, règle et transgression ? Entre forces positives du chaos dans l’intérêt du « vivre ensemble », et détournement de ces énergies troublantes, comment les chorégraphes s’emparent-ils aujourd’hui de ces questions ?
A partir de La Danse de la sorcière de Mary Wigman (1926), plusieurs chorégraphes seront invités à questionner, les rôles du rythme, de l’énergie et du geste au service d’un art de l’envoûtement, de l’enchantement et de la passion et invités à construire chorégraphiquement leur vision d’un sorcier(ère) d’aujourd’hui avec l’interprète Pedro Pauwels.
Visages de la transe - Conférence d'Annie Suquet, historienne de la danse
Salle de cinéma
Vendredi 15 juin 2012 à 18h30
De l'exploration du tournoiement hypnotique et de la chute répétée chez l'Allemande Mary Wigman, à celle de l'envoûtement rythmique chez les chorégraphes afro-américains Asadata Dafora et Katherine Dunham, les techniques de la transe constituent des jalons importants dans l'évolution des visages de la modernité en danse.
Work in progress autour du solo "Sors"
Foyer du théâtre et théâtre de verdure
Samedi 16 juin 2012 à 14h30
Autour du solo « Sors » interprété par Pedro Pauwels et chorégraphié par Carlotta Ikeda, projet de relecture(s) du solo mythique La Danse de la Sorcière (Hexentanz I, 1914, et Hexentanz II, 1926) de Mary Wigman avec Carlotta Ikeda, Pedro Pauwels, Annie Suquet et Claire Rousier.
Atelier Tours et étourdissements / chutes et pertes de conscience
par Pedro Pauwels - Atelier 1
Samedi 16 juin 2012 à 16h30
Atelier Les figures de l'obscurpar Carlotta Ikeda - Atelier 2 et 3
Samedi 16 juin 2012 à 16h30
Atelier Rythmes et transes
par Elsa Wolliaston - salle de cours 2
Samedi 16 juin 2012 à 16h30
Improvisations avec Carlotta Ikeda, Elsa Wolliaston et Pedro Pauwels
à partir des thèmes de leurs ateliers - Théâtre de verdure
Dimanche 17 juin 2012 à 18h30
Conférence Danses de possession, transe rythmique, extase : la danse moderne en quête du "primitif", par Annie Suquet - salle de cinéma
Dimanche 17 juin 2012 à 14h30
Atelier pour les enfants
par Pedro Pauwels - salle de cours 2
Dimanche 17 juin 2012 à 15h
La place de l’occultisme comme source d'inspiration chorégraphique
Projections de la Cinémathèque de la danse - salle de cinéma
Dimanche 17 juin 2012 à 15h30
TRANSES ET DESORDRES - Cycle de spectacles
Du vendredi 8 au dimanche 17 juin 2012
Plein tarif : 15 € // Tarif réduit : 10 €
Les ateliers et conférences dans le cadre du « Projet Sors » sont en accès libre, dans la limite des places disponibles.
Musée du quai Branly
37, quai Branly
75007 Paris
www.quaibranly.fr
En écho à l’exposition « Les Maîtres du désordre », le théâtre Claude Lévi-Strauss met en lumière certaines des traditions chamaniques et cultes de possession qui se caractérisent bien souvent par une forte dimension spectaculaire : des êtres humains, prêtres ou simples initiés, sont habités le temps d'un rituel par un esprit ou une divinité et se retrouvent à jouer un rôle dans un théâtre dont la dramaturgie, les règles et les codes varient selon les cultures.
Le musée du quai Branly met à l'honneur la tradition indienne du Sankirtana, rituel vishnouite rarement présenté à l'étranger, ainsi que la tradition soufie avec une cérémonie d'un village de Haute-Egypte.
Enfin, différentes activités sont proposées par la compagnie du chorégraphe et danseur Pedro Pauwels autour de La Danse de la sorcière de Mary Wigman et accompagnent, en accès libre, ces deux spectacles, du 15 au 17 juin 2012.
Sankirtana - chants et tambours du Manipur - Inde
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Vendredi 8, samedi 9 juin 2012 à 20h et dimanche 10 juin à 17h
Sankirtana, ou Nata Sankirtan, est le nom d’une cérémonie rituelle particulière aux communautés hindoues du Manipur, état du Nord-est de l’Inde. Nata veut dire danse et sankirtana signifie chant en chœur de forme responsoriale. Le Sankirtan est un cercle de prières, une glorification de la déité par des chants, des danses, de la cantillation et une virtuosité dans le jeu des tambours. Dans d’autres traditions, dans d’autres cultures, c’est par la répétition du nom de la divinité que le chantre lui rend hommage et peut chercher à l’atteindre. Dans cette tradition de l’hindouisme vishnouite, c’est dans la récitation et le chant de textes qui évoquent Krishna que l’hommage est rendu.
Présent à toutes les étapes qui marquent le cycle de la vie, le rituel du Sankirtana accompagne les hommes depuis leur naissance jusqu’à la mort, ainsi que lors de toutes les fêtes religieuses, notamment celles qui ont lieu au moment des équinoxes.
Rarement présenté à l’étranger, et jamais dans sa forme intégrale, le Sankirtana est un joyau du patrimoine culturel immatériel qui subjugue par la beauté des voix et des chants, des danses et des rythmes qui s’accélèrent en crescendo, et l'expression gestuelle d’une sobriété élégante et épurée.
Au coeur du Nil Soufi - chants et danses de Haute Egypte
Théâtre Claude Lévi-Strauss
Mercredi 13 juin 2012 à 19h, jeudi 14, vendredi 15, samedi 16 juin à 20h et dimanche 17 juin à 17h
Une cérémonie dans un village de Haute-Egypte, dans la région de Louxor
Avec les munshiddin (chanteurs religieux) Sheir Hamid Hossein Ahmad, Sheikh Saoud et Sheikh Ghanan, ainsi qu’une quinzaine d’artistes.
Ce spectacle introduit par des images filmées, nous entraine dans l’univers des dhikr-s et hadra-s (les cérémonies soufies), un univers qui, grâce à la richesse des traditions populaires de Haute-Egypte, est unique dans le monde arabe.
Sur la place d'un village, une scène rudimentaire est dressée. Quelques bancs de bois accolés, des guirlandes d'ampoules en guise d'éclairage... La voix du munshid domine, sans cesse refaçonnée, privilégiant avant tout l'émotion loin du formalisme académique. Il recherche avant tout à communiquer ses sentiments, il recherche l'extase. En face, comme les guerriers d'une tribu antique, les hommes enturbannés penchent lentement leurs corps de gauche à droite, d'avant en arrière, c'est l'ébauche d'un tournoiement intense des bras et des épaules. La respiration haletante et saccadée devient anarchique et bientôt exultante et expiatoire.
Réalisation artistique : Alain Weber
Projet Sors : autour de la Danse de la sorcière de Mary Wigman
Du vendredi 15 au dimanche 17 juin 2012
Proposé par le chorégraphe Pedro Pauwels
Au programme : conférences, projections, ateliers et étapes de présentation
En accès libre, dans la limite des places disponibles
Qui sont aujourd’hui les « Maîtres du désordre » ? Comment les chorégraphes contemporains conçoivent-ils la construction d'un équilibre entre sagesse et excès, règle et transgression ? Entre forces positives du chaos dans l’intérêt du « vivre ensemble », et détournement de ces énergies troublantes, comment les chorégraphes s’emparent-ils aujourd’hui de ces questions ?
A partir de La Danse de la sorcière de Mary Wigman (1926), plusieurs chorégraphes seront invités à questionner, les rôles du rythme, de l’énergie et du geste au service d’un art de l’envoûtement, de l’enchantement et de la passion et invités à construire chorégraphiquement leur vision d’un sorcier(ère) d’aujourd’hui avec l’interprète Pedro Pauwels.
Visages de la transe - Conférence d'Annie Suquet, historienne de la danse
Salle de cinéma
Vendredi 15 juin 2012 à 18h30
De l'exploration du tournoiement hypnotique et de la chute répétée chez l'Allemande Mary Wigman, à celle de l'envoûtement rythmique chez les chorégraphes afro-américains Asadata Dafora et Katherine Dunham, les techniques de la transe constituent des jalons importants dans l'évolution des visages de la modernité en danse.
Work in progress autour du solo "Sors"
Foyer du théâtre et théâtre de verdure
Samedi 16 juin 2012 à 14h30
Autour du solo « Sors » interprété par Pedro Pauwels et chorégraphié par Carlotta Ikeda, projet de relecture(s) du solo mythique La Danse de la Sorcière (Hexentanz I, 1914, et Hexentanz II, 1926) de Mary Wigman avec Carlotta Ikeda, Pedro Pauwels, Annie Suquet et Claire Rousier.
Atelier Tours et étourdissements / chutes et pertes de conscience
par Pedro Pauwels - Atelier 1
Samedi 16 juin 2012 à 16h30
Atelier Les figures de l'obscurpar Carlotta Ikeda - Atelier 2 et 3
Samedi 16 juin 2012 à 16h30
Atelier Rythmes et transes
par Elsa Wolliaston - salle de cours 2
Samedi 16 juin 2012 à 16h30
Improvisations avec Carlotta Ikeda, Elsa Wolliaston et Pedro Pauwels
à partir des thèmes de leurs ateliers - Théâtre de verdure
Dimanche 17 juin 2012 à 18h30
Conférence Danses de possession, transe rythmique, extase : la danse moderne en quête du "primitif", par Annie Suquet - salle de cinéma
Dimanche 17 juin 2012 à 14h30
Atelier pour les enfants
par Pedro Pauwels - salle de cours 2
Dimanche 17 juin 2012 à 15h
La place de l’occultisme comme source d'inspiration chorégraphique
Projections de la Cinémathèque de la danse - salle de cinéma
Dimanche 17 juin 2012 à 15h30
TRANSES ET DESORDRES - Cycle de spectacles
Du vendredi 8 au dimanche 17 juin 2012
Plein tarif : 15 € // Tarif réduit : 10 €
Les ateliers et conférences dans le cadre du « Projet Sors » sont en accès libre, dans la limite des places disponibles.
Musée du quai Branly
37, quai Branly
75007 Paris
www.quaibranly.fr
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