Certains pays ont célébré la fête du sacrifice un jour après la Turquie.
Le rassemblement de différentes cultures a permis d’annoncer au monde entier le message unificateur de l’Islam.
Les mosquées, les salles de prière voir même les salles de sport étaient toutes saturées.
Au Sénégal et au Maroc la fête du sacrifice a été célébrée un jour après la Turquie.
Les couturiers ont du travailler jusqu’à tard le soir pour coudre les vêtements traditionnels sénégalais.
Au Maroc, la population a afflué dans les mosquées pour la prière de la fête dès l’aube.
Au
Kenya, pays qui englobe des communautés de diverses confessions,
certains musulmans ont célébré la fête le même jour que la Turquie et
d’autres le lendemain. Au second jour de la fête, 5 000 personnes ont
pris part à la prière de la fête.
La
Nouvelle-Zélande abrite environ 50 000 musulmans. 10 000 d’entre eux
vivent à Auckland, où la communauté s’est rassemblée autour du festival
de la fête du sacrifice.
Du
côté des Etats-Unis, la fête a aussi été célébrée. A Boston, les
milliers de musulmans n’ont pas tous réussi à entrer dans les salles de
sport prévues pour la prière. A Dayton, les Turcs Meskhètes se sont
rassemblés à l’occasion de la fête.
En
Thrace occidentale et à Pristina, la capitale du Kosovo, la joie de la
fête s’est fait ressentir dans l’atmosphère. A Pristina, il n’y avait
pas assez de place pour tous les fidèles arrivés à la mosquée Fatih
Sultan Mehmed, héritée de l’empire Ottoman.
Au
Portugal, les musulmans qui n’ont pas réussi à trouver d’emplacement
pour procéder au sacrifice d’animaux se sont finalement rendus dans les
fermes pour y faire le sacrifice.
SOURCE. TRT
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