Dans une petite ville d'Allemagne, des scientifiques ont mis au jour les restes d'une nonne décédée il y a près de 1.000 ans. Ses dents ont révélé la présence d'un pigment rare, suggérant que les femmes de l'époque étaient plus impliquées qu'on ne pense dans la production des textes religieux.
Au premier coup d'oeil, ces dents ne semblent rien avoir de particulier. Pourtant, elles pourraient bousculer une partie de l'histoire. En les regardant de près, des scientifiques y ont décelé un pigment bleu figé dans la plaque dentaire de sa propriétaire. Un élément rare qui suggère que cette dernière, décédée il y a près de 1.000 ans, pourrait avoir mené des activités insoupçonnées.
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