Se rendre à Bokhara puis Samarcande en 1861, c'était quasiment mission impossible et les rares étrangers qui s'y trouvaient étaient ceux réduits en esclavage. Armin Vambery, fin lettré, linguiste (il parlait, entre autres (!), hongrois, français, allemand, anglais, russe, serbe, arabe, persan et turc) et orientaliste distingué de Bratislava, quitte Constantinople pour un formidable périple.
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